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En voiture !
Datte: 24/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... chevilles extérieures reposaient sur les assises des sièges, l’avant de sa jupe pendait entre ses cuisses, et la recouvrait dorénavant de la taille aux genoux. Sous l’effet des vibrations du moteur qui tournait au ralenti, ses mollets nus vibraient. Je déboutonnais lentement la jupe en partant de la base. Je laissai toutefois la taille du vêtement serrée autour de l’abdomen, les pans tombèrent de chaque côté du tunnel sous l’effet de la pesanteur. Mon épouse exhibait ainsi l’intégralité de ses charmes. Je demandais au motard de lui offrir un préservatif, elle s’en empara en nous interrogeant du regard. J’avais embrayé la boîte automatique en position d’arrêt bloqué ; ainsi, le frein à main pouvait rester en position ouverte. La poignée située entre les deux dossiers avant était en position basse dans son logement intégré dans le tunnel de séparation des sièges. Je l’inclinai de quelques degrés, l’extrémité faisait face aux petites lèvres de ma belle qui comprit soudain ce que j’attendais d’elle. Elle déchira l’enveloppe du préservatif avec ses dents, et le déroula autour de la poignée de frein en forme de cylindre dont la circonférence était légèrement plus importante que celle d’un pénis en érection. Alors qu’elle approchait ses doigts de son sexe, je lui précisai : - Fais plonger le frein dans son sexe sans t’aider de tes mains ! Elle reposa ses bras en croix sur le tableau de bord, et avança lentement son bassin vers moi. Lorsqu’elle sentit l’extrémité de la poignée ...
... effleurer ses petites lèvres, elle fit faire à ses fesses des petits mouvements circulaires. Sa vulve s’ouvrit davantage, le frein trouva enfin l’entrée du vagin. Comme elle ne s’était pas servie de ses doigts et que son sexe était imberbe, l’inconnu et moi observâmes la déformation de son bas-ventre sans le moindre obstacle visuel. Les grandes lèvres habituellement charnues dans leurs positions naturelles se renflaient peu à peu au fur et à mesure que la poignée disparaissait. Le capuchon s’ouvrait en V inversé, et le clitoris gonflé débordait. La progression du frein était lente ; les petites lèvres épousaient la poignée et entraient dans l’intimité de mon épouse. Comme la pénétration était délicate, ma belle l’interrompit plusieurs fois avant de la reprendre. Parfois, elle faisait même ressortir légèrement la poignée de son sexe dont les muqueuses vaginales adhéraient au préservatif. Sa vulve prenait du relief : la partie proche de son vagin qui enserrait le frein dépassait légèrement ses grandes lèvres. Mon érection atteignit son point culminant ; quant au motard, il avait glissé une main de son pantalon. Après quelques allers-retours du bassin, la poignée dont la garde touchait la vulve disparut sur plus de quinze centimètres. Je déboutonnais la taille de la jupe que je jetai sur la planche arrière. D’harmonieux bourrelets abdominaux apparurent, mon épouse était répandue devant l’inconnu et moi. J’espérais que ce futur amant saurait se retenir d’éjaculer, mais rien n’était ...