Un hôtel particulier
Datte: 27/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
fbi,
nympho,
hotel,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
couple+f,
Collègues / Travail
... qu’entend-elle par impressionner ? Elle continue : — Je pense que nous allons apprécier votre efficacité. Je viens de parler à mon beau père, il a l’air satisfait. Tu m’étonnes, je lui ai donné ma chatte sans qu’il ait à réclamer. — Par contre, que les choses soient claires, si vous voulez garder votre place, mon mari va sûrement vous toucher mais ça ne devra pas aller plus loin. Le ton est sans appel. Un peu jalouse la jeune femme ou, pensé-je, elle aime que son mari la baise une fois qu’une autre l’a bien excité. — Ne vous inquiétez pas madame, vous pouvez me faire confiance. Curieuse discussion. Ce poste est-il vraiment pour moi ? Moi qui ai une vie d’une normalité presque ennuyeuse lorsque je vois ce qui se passe dans cet hôtel. Elle prend congé, ma journée étant terminée, je signale mon départ. Lorsque mon ami rentre le soir et qu’il me demande comment s’est passée cette première journée, je me cache bien de lui donner les détails. Cela fait un mois que je travaille et l’aventure du premier jour ne s’est pas renouvelée. Je songe que j’ai dû arriver à un moment où ils étaient tous en manque. Que nenni ! Cela fait deux matins, que je monte le petit déjeuner à un type dans une chambre et que celui-ci me montre son intérêt. Il faut dire qu’habillée comme je le suis, un homme restant un homme, ça doit bien le chauffer de voir la femme de ménage, avec un décolleté plus que provocateur et une jupe si courte qu’elle permet de voir plus qu’il ne faut. Le premier jour, le client ...
... sort de la salle de bain lorsque j’entre avec mon plateau. Il me regarde comme une friandise. Le second jour, je le trouve allongé en caleçon dans le lit et il me demande de poser le plateau sur le lit. Je me penche et il se rince l’œil en commentant. — Quel magnifique réveil ! Je sors sans argumenter. Je me demande ce qui m’attend en ce troisième jour. Je frappe et entre. Il est nu sur son lit. La queue droite. — Posez le plateau sur la table mademoiselle et approchez donc. Debout près du lit, je le regarde. — Regardez l’effet que vous me faîtes, dit-il en posant sa main sur sa tige. Que dire ? Je reste bêtement debout. Il se lève, s’approche de moi, prend ma main et la pose sur son sexe. Et je reste plantée là ! — Branle-moi !— Ce n’est pas dans mes attributions, monsieur.— Ne m’oblige pas à en parler à ton patron. Je suis tentée par sa proposition. Ma main entame des va-et-vient sur son manche. La sienne glisse sous ma jupe et s’adapte au rythme de ma main sur sa queue. Il part très vite. Je suis déçue car j’aurais aimé qu’il me fasse jouir. Ma main est couverte de son sperme. — Merci, petit coquine…— Je vous en prie. C’est tout, c’est déjà fini, me dis-je. Et moi, alors ! J’ai envie aussi. Il n’en a rien à faire, seul compte son plaisir à lui ! Je me lave les mains et sors de la chambre excitée comme une puce. «Va faire les chambres, ma vieille et calme-toi ! » La matinée passe ainsi, ma chatte est en ébullition et je fais le ménage. Je croise Pierre au second étage. Mon ...