1. Mister Hyde - 12


    Datte: 27/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    12- Frédéric resta pour s’occuper de Franck mais se fit si discret que Frédérique, bien qu’elle sût qu’il n’était pas loin, ne le vit pas de tout le reste du week-end. Le dimanche soir, elle entendit la porte se refermer. Ce fut tout. Durant la semaine qui suivit, elle fit la connaissance de ses nouveaux collègues et prit ses marques dans son nouveau poste de travail. Son esprit était tout sauf serein : elle pensait sans arrêt à son amant. A chaque erreur commise, elle se demandait quelle punition elle méritait et, le soir, après avoir couché le petit Franck, elle allait faire un tour dans le garage. Le lundi soir, elle en était ressortie très vite. Rien qu’un pas à l’intérieur et elle avait éprouvé un désir violent. Elle avait pris la fuite. Mais dès le lendemain elle s’imposa d’y rester et s’agenouilla longuement en position d’attente d’une punition, qui ne viendrait pas. Le mercredi fut semblable à la veille mais le jeudi, quand elle monta se coucher, elle ne put réprimer une caresse, puis deux… Allongée sur son lit, elle ferma les yeux et pinça ses tétons. Elle fit courir ses doigts sur sa vulve, remonta sur son ventre, redescendit, se pénétra sans attendre d’y être prête… Mais très vite elle abandonna. Le désir était là mais pas les sensations. Elle avait éprouvé tant de plaisirs sous les doigts experts de Frédéric qu’elle était désormais incapable de se satisfaire seule. En un clin d’œil, sa décision fut prise. Elle se leva et alluma son ordinateur. *** Frédéric était ...
    ... lui aussi planté devant sa machine. Il jouait, à un jeu très con (mais addictif) dont le seul but était de faire éliminer par un personnage tous les démons et autres racailles qui se présentait à lui. Il jouait et cela lui vidait la tête de son unique pensée du moment : Frédérique. Sa technique fonctionna si bien qu’il n’entendit pas la petite musique qui annonçait l’arrivée d’un mail. Epuisé, il alla se coucher vers deux heures et demi, il ne découvrit donc le courriel qu’à son lever. Il eut un coup au cœur rien qu’en lisant le premier mot du message ainsi libellé : « Monsieur, J’ai conscience d’avoir abusé de votre patience mais, comme vous le savez, la décision que j’avais à prendre n’avait rien d’évident. Désormais, elle est prise et n’attend plus que votre agrément. Au cours des semaines passées, vous avez eu la bonté de me permettre de devenir votre soumise, j’espère qu’il en sera de même à l’avenir, selon les mêmes termes que vous avez énoncés en ce soir de juillet dernier. Naturellement, vous restez libre de les modifier selon votre vouloir et sachez que, pour ma part, je me soumets déjà à toutes les modifications que vous pourriez apporter à notre contrat. Par souci d’honnêteté à votre égard, je me dois également de vous avouer que mon comportement de cette semaine n’a pas été exemplaire et que j’ai commis un certain nombre d’entraves aux règles que vous avez imposées. Les deux plus graves sont sans doute d’être entrée dans le donjon sans autorisation et de m’être ...
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