1. Les réceptions de M. Le Marquis (Partie V)


    Datte: 22/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... lance t-il. - Allons, allons, ne soyez pas pressé Monsieur Curval. Il ne va pas s’envoler ! Et tous deux éclatent de rire. Les invités s’installent sur les sièges disposés tout autour de la table basse. Aussitôt, Blond sort des verres et leur propose des liqueurs. De mon côté, je vais chercher la boite à cigares et fais le tour des invités pour leur présenter. Brun fait déjà l’objet des caresses de l’un des invités, celui qui semble le plus âgé. La plupart des invités prennent un cigare et je fais ensuite le tour équipé d’un briquet pour leur allumer. Une fois chaque invité en train de fumer, je retourne me poster à côté de celui qui semblait apprécier mon cul. Cela semble lui plaire car il lance : - On dirait que je lui ai tapé dans l’œil, regardez ! La plaisanterie fait rire tout le monde. Les discussions vont bon train et, tout en devisant sur le cours de la bourse et sur ses dernières parties de golf, Monsieur Curval me tripote les fesses. Tout à coup, ce dernier déclare : - J’ai une idée ! Voyons voir de quoi nos serviteurs sont capables, voulez-vous ? Notre ami ici présent (et sur ces mots il m’envoie une grande claque sur la fesse pour bien montrer que c’est de moi qu’il parle) va nous montrer comme il est doué avec les hommes en s’ébattant avec ce jeune brun sur lequel Monsieur Trévigny a jeté son dévolu. Qu’en dites-vous chers amis ? Tous semblent acquiescer. M. Curval me pousse sur les fesses vers Brun qui déjà s’approche de moi. Brun ne me laisse vraiment pas ...
    ... indifférent depuis le début de la journée, et j’avoue être assez heureux d’avoir l’occasion de profiter de lui. Aussi, lorsque Monsieur Curval m’a ordonné d’aller vers lui, je ne me suis pas fait prier. Déjà bien échaudé par les caresses de Monsieur Curval, j’empoigne le fessier musculeux de Brun, qui fait de même avec le mien. Puis je plaque vigoureusement mes lèvres contre les siennes et il glisse sa langue dans ma bouche. Ainsi commence un long et langoureux baiser qui fait l’unanimité chez les convives dont l’attention semble tournée sur nous. L’un des convives s’écrie : - Arrêtez tout ! Brun et moi nous séparons illico. - Qu’y a t-il Monsieur Lorsange ? demande Monsieur le Marquis. - Eh bien, tout ceci m’excite au plus haut point, et je trouve inadmissible que ce charmant jeune homme reste oisif. (Il désigne Blond de l’index.) Aussi, j’exige qu’il vienne prestement sucer mon sexe qui déjà s’impatiente. Tout en parlant, il a déboutonné son pantalon pour dévoiler un sexe menu, bien que vaillamment dressé. Cette intervention fait beaucoup rire les convives et, sans attendre, Blond se précipite pour prendre la bite en bouche. Monsieur rit également mais se ressaisit bien vite pour nous ordonner : - Bon, bon. Ne vous laissez pas distraire vous deux, au travail ! J’obéis avec plaisir et me retourne vers cette délicieuse bouche qui est devant moi. Lentement, je descends jusqu’à embrasser le cou de Brun. Cela semble l’exciter vivement car il plante désormais ses ongles dans la chair ...