Recadrage au vestiaire (1)
Datte: 29/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Lorsque j’étais à la fac, je faisais partie d’un groupe de potes qui ne trouvait rien de mieux, pour affirmer leur virilité naissante, que de rabaisser les filles de la promo par de constantes remarques et moqueries sur leur physique. Le genre de commentaires vexants et allusifs ayant pour but de montrer qu’on était de vrais "bonhommes", alors qu’en vérité chacun de nous rêvait en secret de pouvoir un jour ne serait-ce qu’admirer et se délecter de ces corps et de leurs charmes très fraîchement acquis. Le cours de sport était très souvent un moment particulièrement propice à nos railleries habituelles. En effet, les filles, dans leurs leggings moulants et leurs débardeurs étroits et ajustés, arboraient des poitrines insolentes et des fesses parfaitement dessinées. Il y avait bien trop d’objets d’attraction pour qu’un jeune homme puisse faire semblant de les ignorer. Nos sarcasmes, menés par nos hormones en ébullition, redoublaient alors d’intensité. Les filles, quant à elle, lassées par des comportements qu’elles qualifiaient, certainement à juste titre, d’immatures, nous ignoraient la plupart du temps. Mais un jour, elles s’en plaignirent au professeur et lui demandèrent de nous séparer en nous répartissant dans des groupes différents. L’effet de groupe supprimé, les moqueries incessantes cessèrent et je fus alors réparti dans un groupe exclusivement de filles. Voyant qu’il s’agissait des plus belles filles de la classe, mes potes ne purent s’empêcher quelques ...
... sifflements lourdingues et remarques à l’emporte-pièce. Seul et à présent isolé, je ne pus m’empêcher de rougir lorsque je croisai les regards de mes futures partenaires. L’une d’entre elles le remarqua instantanément et ne put s’empêcher de me lancer : "N’ait pas peur p’tit loup, on ne va pas te manger !" Elles éclatèrent toutes de rire ce qui contribua à accroître mon malaise et à faire resurgir ma timidité naturelle. Pendant toute la séance d’acrogym, elles n’arrêtèrent pas de se mettre dans des positions suggestives, de se cambrer et de se frotter contre moi, prétextant une figure particulièrement difficile ou délicate à effectuer. Me critiquant au moindre écart de conduite et profitant de quelques faiblesses dans mes portés pour me rabaisser en s’attaquant directement à ma virilité, leur ton se faisait de plus en plus directif avec moi. Une remarque de trop me fit à un moment sortir de mes gonds. Tout de suite, Tuna, la leader du groupe me rappela à l’ordre : "Ecoute, nous, on veut une bonne note et on travaille sur nos figures depuis le début du trimestre. Alors il est hors de question que tu viennes gâcher tout le travail que nous avons accompli jusqu’ici. Tu feras ce qu’on te dit et c’est tout." Je me pliai péniblement à toutes ses exigences tout en leur montrant ostensiblement ma mauvaise humeur. Vint le moment de la notation. Alors que les autres groupes présentaient leurs enchaînements devant le professeur, Marie, la meilleure amie de Tuna, s’approcha de moi et me dit ...