1. Recadrage au vestiaire (1)


    Datte: 29/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... idiot... Vous êtes vraiment belles..." "Non ! Mieux que ça ! Excuse-toi à genoux !" Complètement dépassé par les évènements, je m’exécute machinalement et m’agenouille instinctivement devant elle tout en réitérant mes excuses : "Je m’excuse... Je vous en prie... Pardonnez-moi..." sanglotai-je. Se tournant vers ses camarades, Tuna déclara dans un rire général : "Je vous l’avais dit ! C’est une petite salope soumise ! Et que serais-tu prêt à faire pour te faire pardonner ? "... Je ne sais pas... Tout ce que vous voudrez..." Elle sourit. "Tout ce que nous voudrons ? Très bien. Déshabille-toi devant nous." Je me déshabillai et hésitai à enlever mon boxer. La réponse ne se fit pas attendre : "Complètement. Vite !" Je l’enlevai et me retrouvai entièrement nu. Ma bite était tendue comme un câble. Debout dans le vestiaire, je n’arrivais pas à quitter des yeux la poitrine généreuse de Marie délicatement compressée par son soutien-gorge en dentelle. Elle était incontestablement la plus belle fille de la promo. Marie le remarqua très vite et dit, morte de rire et en prenant toutes les filles à témoin : "Regardez, il me reluque les seins !" Immédiatement, Tuna qui était près de moi s’exclama : "Tu bandes comme un âne et tu oses reluquer ma pote. T’es vraiment un sale porc. Et les sales porcs comme toi se tiennent à quatre pattes. Mets-toi à quatre pattes." Le ton de sa voix était si autoritaire que j’obéis instantanément et automatiquement sans même penser à la signification ...
    ... qu’impliquait mon attitude. Par cet acte, j’acceptais ma subordination entière. Son sourire malicieux ne pouvait que le certifier. C’est à ce moment que Marie voulut s’amuser un peu et prendre le contrôle. Se penchant au-dessus de moi, elle me demanda : "Donc tu aimes ma poitrine, n’est-ce pas ? Tu voudrais la voir ?" Redressant la tête, j’acquiesçai. "Tellement mignon. Alors, allonge-toi sur banc" Elle s’assit et posa ma tête sur ses cuisses. Sa tête au-dessus de la mienne, elle plongea ses yeux vers dans les miens. J’étais paralysé. Impossible de quitter son regard. Je lui appartenais. Tout en soutenant mon regard, elle commença avec sa main à masturber doucement ma queue. Puis, avec son autre main, elle baissa les bonnets de son soutien-gorge. Je fus émerveillé par la vision de ses seins sur lesquels j’avais toujours fantasmé. Forcé de quitter son regard, c’était maintenant ses seins qui me paralysaient. Sa main experte me mit en confiance comme sa tendresse naturelle avait vocation à me rassurer et me protéger. Enfin elle me dit doucement mais fermement : "Tête les." J’obéis et commençai à les téter. Elle en profita pour parler aux autres filles : "Ce n’est pas un porc. C’est un petit bébé. Notre bébé soumis." Des ricanements se firent entendre dans le vestiaire. Tournant à nouveau son regard vers moi, elle déclara tout en serrant un peu plus mon pénis : "À partir de maintenant du seras notre bébé esclave. Tout ce que nous te demanderons, tu l’exécuteras immédiatement. Quelles que ...