1. Je ne peux pas t'offrir beaucoup


    Datte: 29/02/2020, Catégories: fh, amour, volupté, massage, Oral tutu, ecriv_f,

    ... masse depuis les épaules jusqu’à la ceinture en gestes amples et réguliers. Je nourris ta peau avec le liquide aux senteurs musquées et avec toute la tendresse que j’essaie de faire passer dans mes attouchements. Je ne peux pas t’offrir beaucoup. Ta respiration est profonde et lente. Peut-être dors-tu ? J’ôte tes chaussettes et entreprends de huiler tes pieds ; ton soutien quotidien, c’est eux ; il faut en prendre soin. Je passe mes doigts entre les orteils, je les caresse de la base au bout de l’ongle. Puis, je remonte sur les chevilles et je sens tes mollets qui frémissent. Je commence à avoir envie de toi, très fort. Je sens que les soins que je te prodigue m’ont mis en émoi ; à la naissance des cuisses, mon microclimat est humide. Mais je ne veux pas me détourner de ma mission. Je ne peux pas t’offrir beaucoup. Je veux que tu te sentes le plus détendu possible. Que tu prennes l’habitude de venir me trouver quand tu sens que la pression est trop forte et que tu viennes déposer les armes chez moi : le repos du guerrier entre mes bras ; une récréation volée à la vie, un pied de nez aux convenances, un délicieux moment hors du temps, hors de tout, juste de la tendresse, de la chaleur et du plaisir. Je défais ta ceinture. Tiens ? Tu ouvres un œil. Boutons, agrafes. Je fais glisser la braguette silencieusement. Tu es aux aguets. Tu lèves insensiblement les fesses quand je fais descendre le pantalon sur tes jambes et l’ôte pour te laisser en boxer. Je ne peux pas t’offrir ...
    ... beaucoup. Mais toi, tu m’offres déjà un sexe à demi-dressé sous le tissu bleu marine. J’approche mes mains. Tu frissonnes. Après l’instant câlin, tu es prêt à aborder un autre style d’activité récréative et divertissante. Mes doigts écartent tes jambes. J’effleure à peine tes cuisses, redescends aux mollets ; l’huile s’imprègne. Une odeur tenace et assez érotique a envahi la pièce, à moins que ça ne soit de l’autosuggestion de ma part. J’aime tes jambes à la carnation claire et leurs grains de beauté. Ton shorty se déforme sous la tension de ton sexe. Je viens placer mes mains de chaque côté de ton vit et pétris doucement la chair chaude et ferme de tes cuisses. Mon souffle tiède sur tes bourses. Ma bouche qui les effleure au travers du sous-vêtement. Tu écartes largement les jambes. Et moi, j’écarte le pan de coton pour glisser ma langue par-dessous et lécher les boules douces et rondes qui s’y cachent. Ma langue travaille avec ardeur pour les baiser de tous côtés. Mes mains tiennent tes hanches. Puis, je fais glisser ton boxer. Je ne peux pas t’offrir beaucoup. Juste un petit moment de désir et de plaisir. Loin du tumulte de nos vies. Le temps qui s’arrête. Ton sexe en érection devant moi. Mes mains qui maintiennent tes jambes repliées, talons contre fesses. Bourses offertes à mes coups de langue. Je pétris tes fesses. Ta respiration s’accélère ; le désir monte ; tu as envie que j’engloutisse ta bite qui est pleine de sève et de désir contenu. J’abandonne tes testicules et viens ...