La Deuxième fois - L'ordinateur (1)
Datte: 29/02/2020,
Catégories:
Gay
La deuxième fois – L’ordinateur Suite au week-end du chalet, la gêne se dissipait entre mon ami et moi. Nous n’avions pas reparlé de cet épisode de tripotage. Un midi, après s’être assuré que je n’avais pas de cours tout de suite après le dîner, il m’invite chez lui. – Apporte ton lunch et allons dîner chez moi, je te montrerai notre nouvel ordinateur ! Un Commodore Vic-20. — Tes parents sont là ? — Non, ils travaillent. — Ok ! Je n’ai jamais vue ça un Vic-20 ! Nous marchons jusque chez-lui, environs 10 minutes de marche. En chemin, nous reparlons du week-end au chalet. — Je sais que tu n’es pas attiré par les hommes comme moi, mais tu as été super cochon la dernière fois au chalet. — J’ai encore du mal à m’expliquer ce que j’ai fait. C’est toi qui es cochon. Tu as avalé mon sperme après m’avoir fait cette pipe du tonnerre. — Oui, j’étais trop excité. J’étais curieux de sentir l’effet et le goût d’un autre sperme que le mien. J’ai adoré, même si j’ai eu de la difficulté à tout avaler car tu me giclais ça à grand flot ! m’avoua-t-il. — Je serais incapable de faire ça. Je ne comprends même pas comment j’ai pu te sucer, moi qui ai toujours fantasmé sur les femmes, je rétorque. Comme il se doit, l’évocation de cette nuit de découvertes nous fait bander. — Hey, tu as une bosse dans le pantalon, qu’il me dit. — Toi aussi on dirait ! Et nous avons rit. Arrivé chez-lui, je dépose mon «lunch» dans la cuisine et le suis au sous-sol, jusqu’à l’atelier de son père. Après avoir déplacé ...
... quelques boites, il en sort une de sous l’établi sur laquelle nous pouvons lire «guenilles». — Tu ne devineras jamais ce que j’ai trouvé là-dedans l’autre jour, me dit-il en ouvrant la boîte en question. Sur ce, il l’ouvre, déplace les guenilles et en sort quelques magazines. Des Play-boys! — Cool, de belles femmes nues ! Je m’exclame tout excité. Nous nous emparons chacun d’un magazine et commençons à en feuilleter les pages avec curiosité dans un premier temps, puis avec avidité par la suite. Nous avons devant nous de superbes femmes nues, le sexe bien en vue ; des sexes de blondes, de rousses, de brunes. Ce faisant, je remarque qu’il jette des coups d’œil dans ma direction regardant alternativement les images qui me branchent et la bosse qui tend mon pantalon. Il nous faut peu de temps pour que nos queues respectives atteignent leur inconfortable mais néanmoins, plein potentiel. Bien que connaissant fort bien sa réponse, je lui demande poliment : — Ça ne te dérange pas si je sors ma queue. C’est trop serré dans mon jean ? — Te gène pas. J’espérais justement revoir ta grosse queue ! — Espèce de pervers, lui dis-je en riant. Pour être honnête, je souhaitais à ce moment sentir ma queue aspirée dans le velours de sa bouche, sentir sa chaleur moite, les mouvements de sa langue sur mon gland. C’est ainsi que, beaucoup moins innocemment que la première fois, je défaisais ma braguette et laissais descendre mon jean, mon slip sous mes genoux. Rapidement, il se mit lui aussi à son ...