La Deuxième fois - L'ordinateur (1)
Datte: 29/02/2020,
Catégories:
Gay
... aise laissant sa queue se dresser librement. Tournant de plus en plus avidement les pages de nos Play Boy respectifs, nous y allons de commentaires et qualificatifs non équivoques sur les jolies femmes nues posant dans une variété de positions, toutes aussi bandantes les unes que les autres. Je me masturbais lentement pendant qu’il faisait de même. Tout comme lors de notre première nuit, mon «précum» perlait abondamment et je m’en servais pour faire glisser mes doigts tout autour de mon gland, caresse hautement jouissive pour moi. Je sais bien qu’à ce rythme, l’orgasme ne tardera pas mais qu’il sera d’autant plus spectaculaire si j’arrive à le contenir plus longtemps. C’est bien ce que m’ont appris mes séances de masturbations quotidiennes. Je tente tant bien que mal de distraire cette jouissance lorsque je remarque un ruban à mesurer sur l’établi. Je m’en empare et rompant le charme, je propose de mesurer nos pénis. -Je suis curieux de voir de combien ta queue est plus longue que la mienne. Aide-moi! Bien entendu, mon ami ne se le fait pas dire deux fois et s’empare aussitôt de mon pénis. Électrisé par les récentes caresses qu’il a reçues, il s’embrase carrément. Je retire promptement sa main. — Non, pas comme ça! Avec le ruban. Mesure-la. — Ah, désolé, dit-il en riant. Le salaud avait eu suffisamment de temps pour prendre le pouls du trouble, que son attouchement avait créé chez moi. — 16 centimètres, déclare-t-il après avoir finalement obtempéré. Puis, déplaçant le ruban ...
... pour encercler ma bite: — 13 cm de circonférence ! Tu me mesures aussi ? Évidemment, je sais bien que ça va le titiller que je touche sa queue. Par contre, je ne m’attends pas au trouble que ce toucher me fait ressentir. J’annonce : — 19 cm pour la longueur ! 12 pour la circonférence ! — La mienne est plus grosse, mais la tienne est nettement plus longue ! Lui dis-je. Nous avons rit et recommencé notre lecture qui ne nécessite en fait, aucune lecture ! Je reprends mon membre en main qui est encore fièrement redressé. Idem pour mon copain. Nous nous jetons des regards du coin de l’œil de temps à autre, nous matant mutuellement la queue. Le «précum» perle de plus belle. Tant et si bien qu’il sert maintenant de lubrifiant à mes mouvements de va et vient, augmentant d’autant le plaisir que je ressens. — Regarde cette belle rousse avec des taches de rousseur ! J’aimerais baiser avec elle ! — Espère toujours ! Tu ne la verras jamais de ta vie. Tu ne peux que te branler ou te faire branler en t’imaginant avec elle! Disant cela, il repousse ma main et s’empare encore de ma queue. Aidé du «précum» et de sa salive, ses doigts glissent le long de ma verge. Parfois lorsque sa main rejoint mon gland, il dirige sa paume à son sommet pour y recueillir le précieux lubrifiant que je secrète maintenant avec abondance. Des frissons de plaisir traversent mon corps. J’adore ça! Je vois bien qu’il aimerait en faire plus. D’ailleurs, il ne regarde plus le Play Boy n’ayant d’yeux que pour le membre ...