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Le Beau Linge
Datte: 01/03/2020, Catégories: 2couples, couple, couplus, sexshop, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, échange, jeu, sm, attache, yeuxbandés, orties,
... Thierry, raconte-nous une histoire, toi aussi, demande Clotilde.— Quand nous avons commencé la première année de BTS, beaucoup d’entre nous étaient déjà en couple. Les étudiants de deuxième année ont voulu nous bizuter. Depuis plus d’un an, j’étais amoureux d’une douce Angélique, que Maryse a bien connue. Ils ne se sont intéressés qu’aux couples, le premier soir. Ça s’est passé dans le gymnase. D’abord strip-tease, jusqu’au slip pour les garçons et les filles. Elle avait de jolis seins, Angélique, hein, Maryse ? Mais toi aussi ! Après quoi, deux garçons et deux filles devaient pénétrer dans une seule cabine de douche, mais jamais avec le ou la partenaire, naturellement. Il fallait y rester cinq minutes, pas plus, mais en ressortir avec le slip de l’autre. Savoir Angélique obligée de se mettre nue devant deux garçons, également nus, c’était épouvantable pour moi. Elle en est ressortie toute rouge, mais pas vraiment fâchée. Quand mon tour est venu, une des deux filles était Maryse. On était bien serrés, dans cette cabine, nous nous sommes beaucoup frôlés, elle et moi. Depuis… — Aurélien, raconte-nous, toi aussi, demande alors Clotilde.— Un matin, dans une forêt, un bruit étrange m’a fait avancer de trois pas, et l’envol puissant d’un oiseau immense m’a frôlé la tête. Le vautour que je venais d’effrayer avait abandonné une carcasse d’agneau. J’ai longtemps pensé, par la suite, que j’aurais dû mieux regarder les entrailles du mouton que dévorait le grand vautour d’Auvergne. ...
... L’avenir pouvait en effet y être inscrit… L’hiver suivant, avec une certaine Sophie, j’étais un vendredi soir dans la même région, au bord d’une ancienne voie romaine, entre un pâturage et trois petits bois, au carrefour de chemins que presque personne n’emprunte. Il y avait là un poteau électrique. Sophie a bien voulu se déshabiller, présenter ses poignets, que des cordes ont aussitôt liés à chacun des montants. Ensuite, elle a écarté les jambes, afin que j’assujettisse également ses chevilles. Je lui ai dit : "Puisque nous sommes condamnés à nous quitter, je te laisse. Il serait inutile d’appeler, personne n’entendrait. La neige va tomber, le vent va se lever. Dans quelques jours viendra le grand vautour d’Auvergne, je lui dois un festin. Adieu, Sophie." Elle était bien tranquille, ce n’était qu’un jeu, les liens n’étaient pas serrés, elle aurait pu se délivrer rapidement si mon cœur, à force de battre trop vite, s’était soudain arrêté. De la neige restait au bord du chemin. J’en ai pris un peu entre mes mains et j’ai doucement, très doucement, caressé les seins et les cuisses de Sophie, qui m’a dit qu’elle voulait faire l’amour avec moi une dernière fois. Elle devait se marier le mois suivant… Je l’ai détachée, je l’ai portée dans mes bras – c’est bien ce que l’on fait pour les mariées, n’est-ce pas – jusqu’à une cabane de berger, pour que ses pauvres petits pieds ne souffrent pas du froid.— C’est bien décidé, c’est irrévocable, m’a-t-elle demandé, tu ne quitteras pas ta femme ...