1. Le Beau Linge


    Datte: 01/03/2020, Catégories: 2couples, couple, couplus, sexshop, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, échange, jeu, sm, attache, yeuxbandés, orties,

    ... pour moi ? Je lui ai répondu qu’elle savait bien qu’il n’en avait jamais été question. — Tu n’es pas un type très intéressant, a-t-elle conclu. C’est toi que ton vautour devrait dévorer. À commencer par ça, dès que ce sera sorti de mon gentil petit minou pour ne plus jamais y retourner, plus jamais.— A-t-elle tenu parole ? demande Clotilde.— Oui. Jusqu’à maintenant, du moins. Mais n’insultons pas l’avenir !— C’est pourtant vrai que tu n’es pas un type très intéressant ! Moi, je ne vais rien raconter, je vais nous faire vivre une aventure. Voici les pizzas, il y en a deux. L’une d’elle comporte une fève. Celui ou celle qui l’aura fera ce qu’il ou elle voudra aux trois autres, pendant une heure. Bon appétit. Aurélien mange sa part, le cœur battant. Il n’a pas la fève. Mais les autres non plus. La pizza finie, Clotilde avoue qu’elle leur a menti, pour les faire fantasmer. — Si vous voulez, ajoute-t-elle, on peut danser. Mais sans enlever nos chemises. Christophe, remets-nous les blues. Clotilde danse avec Christophe, la chemise soulevée, une main de son cavalier sur ses fesses. — Fais comme lui, demande Maryse à Aurélien. Tu bandes fort, hein ? Elle constate, une main sous sa chemise. Elle ajoute qu’elle est trempée. — Tu peux vérifier. Il vérifie, et approche sa bouche des lèvres de la jeune fille. — Arrêtez d’être indécents, intervient Clotilde. Dans mes bras, Aurélien. Elle lui murmure, collée contre lui, qu’il voit bien qu’il était inutile de lui parler d’amour, qu’on lui ...
    ... colle dans les bras la première fille venue, et qu’il la désire, ah ! il est bien comme les autres… — Mais toi, alors !— Moi je ne suis pas hypocrite comme toi. Elle le repousse, et à voix haute, annonce qu’il convient de passer à la suite. — Je vous ai menti tout à l’heure, à propos de la fève. Vous allez donc me punir. Je vais m’allonger, nue, sur mon lit, bras et chevilles écartés, comme si j’étais attachée. Vous me mettrez un foulard sur les yeux. Vous ferez de moi ce que vous voudrez, pendant un quart d’heure. Le jeu n’est pas nouveau pour les jeunes : Christophe sait où est le foulard, mais c’est Maryse qui aveugle Clotilde, en lui donnant un léger baiser sur les lèvres, aussitôt après. — Tout ce qu’on veut, hein ? Tout ce qu’on veut, tu as dit…— Oui.— Quel dommage qu’on n’aie pas d’orties…— Il y a des pinces dans le tiroir, dit Stéphane.— Allons plutôt chercher des pinces à linge dans la buanderie.— Mais avant, Maryse, fais-la jouir avec le vibromasseur. Il y en a un dans le tiroir du haut.— Oh non ! supplie Clotilde, c’est autre chose que je veux, c’est vous, les garçons, pas cet horrible morceau de plastique !— Tout ce qu’on veut, tu as dit. Vas-y, Maryse, ordonne Christophe. Maryse caresse les seins, les lèvres, les aisselles de Clotilde avec le vibromasseur. Elle s’attaque ensuite au clitoris, puis enfonce l’engin dans la vulve d’où suinte déjà la cyprine, et l’y laisse. — J’espère que les piles sont neuves, dit-elle. Les pinces ! Les garçons, allez donc chercher les ...
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