Kaléidoscope (1/3)
Datte: 22/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... poitrine. Quant à moi, je m'amuse à palper ses gros seins à travers sa chemise. Je les fais bouger d'un côté à l'autre, je les vois par son décolleté généreux, je sens ses tétons pointer à travers l'épais tissu en coton. Je passe dessous, bien décidée à caresser sa peau toute douce. Pendant ce temps-là, elle a atteint mes tétons et commence à jouer avec, les faisant rouler entre ses doigts. Je ne tarde pas à m'emparer des siens et je lui inflige avec envie le même traitement. Nous commençons à gémir. Notre désir monte en nous. Il m'en faut plus. Laure aussi. Nous déboutonnons nos pantalons et retirons nos chaussures. Une de mes mains part à la découverte de son intimité, je me perds quelques instants dans la touffe de poils qu'elle laisse pousser sur son mont de vénus, puis je descends vers sa fente toute lisse et déjà bien humide, mes doigts n'ont aucune difficulté à s'introduire en elle. Nous nous embrassons, portées par notre désir mutuel. Je sens que les doigts de Laure caressent enfin mes lèvres. Je mouille, moi aussi. Nos pantalons tombent rapidement à nos pieds, suivis par nos culottes. Je ne porte plus que mon t-shirt et Laure sa chemise. Nous continuons de nous caresser de partout, portées par notre désir et notre excitation, tout en nous embrassant à pleine bouche. Nos langues se mêlent, nos mains se hasardent sur chaque parcelle du corps de l'autre. Notre excitation monte un peu plus. Nous nous débarrassons prestement du peu de vêtements qui nous couvraient ...
... encore et nous nous allongeons tête-bêche sur ceux-ci. Moi dessous, et Laure dessus, pour que je puisse lui tripoter ses gros seins à volonté. Sa vulve n'est qu'à quelques centimètres de mon visage. Ma langue s'approche et parcourt ses lèvres toutes humides. Le goût en est un peu acre. Un mélange de cyprine, de sueur, et probablement quelques légères traces d'urine. Tout ceci est venu si vite, si spontanément, poussées par une irrépressible envie, nous n'avons bien évidemment pas eu le temps de faire une toilette intime. Tant pis, le désir est le plus fort, je me mets à lécher avec avidité le sexe offert de ma chère amie. Ses lèvres sont douces et charnues, je les écarte pour partir plus profondément à la découverte de son intimité. Je fais aller ma langue au plus profond de son vagin, ma partenaire est en train de me rendre la pareille, je ne peux retenir quelques gémissements de plaisir. Ma langue fouille, s'insinue entre ses chairs, lui arrachant aussi des cris étouffés. Je commence à remonter insidieusement vers l'objet de mes désirs, l'objet de son plaisir. Son clitoris, fièrement dressé, n'est plus qu'à quelques centimètres de ma langue. Je m'en rapproche inexorablement. Je ressens une violente décharge de plaisir, mon amante vient de s'attaquer au mien. Je fais de même, faisant tourner ma langue autour de son bouton. Je tourne, tourne, passe dessus de temps en temps, tourne autour à nouveau. Je le prends entre mes lèvres et me mets à le sucer comme une petite bite. Cela ...