La gifle
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sévèrement. — Ok. Nous avons évolué chacun de notre côté dans la soirée jusqu’au moment où je suis intervenu pour interrompre ce flirt outrancier. Nous sommes sortis. Après quelques minutes de marche dans la rue, je lui dis que je regrettais profondément tout cela, que c’est elle que j’aimais. Je la pris dans mes bras pour tenter de l’embrasser, elle détourna la tête et me repoussa brutalement en me griffant le visage. — Laisse-moi, tu me dégoûtes ! Tu n’es qu’un enfoiré ! dit-elle. Je la giflais sous l’effet de la douleur, et regrettant aussitôt mon geste, je tentais encore une fois de l’embrasser en m’excusant, la coinçant contre une porte cochère, elle s’est débattue et la porte cochère s’est ouverte. Elle s’accrocha à la porte en s’affaissant à moitié, reprit son équilibre et s’enfuit au fond de la cour. Je voulus la suivre, mais je m’étalai par terre en trébuchant contre le bas de la porte cochère. Une douleur très vive au genou changea le cours de mes préoccupations. Je me relevai, mais j’arrivais à peine à marcher. Je me suis maintenu en m’appuyant sur le mur quelque temps. J’étais dans une cour d’immeuble en chantier, aucune lumière dans les étages, les fenêtres étaient grandes ouvertes sauf dans un logement au fond de la cour. Lorsque la douleur fut moins vive, je m’avançais vers celui-ci en boitillant. Sur le seuil de la porte, je vis ma femme assise dans la pièce, un verre dans la main, avec quatre types costauds, tatoués, blonds, probablement les ouvriers du ...
... chantier. Je les saluais, et demandais à ma femme de venir avec moi. — Va-t’en ! Fous-moi la paix connard, me dit-elle ! Je m’approche et la tire par le coude sans ménagement, elle résiste. — Lâche-moi salopard ! Le type assis à côté de ma femme se leva et me mit une énorme baffe qui me sonna, je voulus me rebiffer et je me pris une autre baffe qui m’envoya valdinguer dans le fond de la pièce. Le type s’approcha l’œil mauvais. — Non, assez, j’ai compris, implorais-je les larmes aux yeux. — Ah ! C’est plus facile de frapper les femmes, hein ? Elle a raison ta pétasse, tu n’es qu’une lopette. Tire-toi, crie Justine, laisse-le partir Agueï ! — Je vais prévenir les flics ! dis-je en me dirigeant vers la porte. J’avais eu tort de leur dire cela, c’était probablement des clandestins. Les quatre types m’entourèrent avec des regards mauvais, m’empêchant de sortir. Je me repris une baffe, un des types me tira par les cheveux, me tordit le bras et m’obligea à me mettre à genou. Un autre noua mes mains avec une attache en plastique. — Ne t’inquiète pas, dit Agueï à ma femme, ça va le faire réfléchir. Ils discutèrent entre eux en slave. Puis un des types me prit par le col et me traîna dans un coin de la pièce qui devait servir de piaule, la séparation consistant en une couverture plus ou moins tendue sur un fil. Il tira sur le haut de mon pantalon, les boutons cédèrent. Il le baissa avec mon boxer et les plia en boule sur mes chevilles pour les immobiliser. Il m’obligea à me mettre à genoux ...