1. La gifle


    Datte: 03/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... en me disant dans un mauvais français avec un accent slave. — Toi, pas bouger ! En rejoignant les autres, il leur dit quelque chose en slave, ils se marrèrent et décidèrent de s’envoyer un grand verre de vodka en l’honneur de Justine. Je pouvais voir la scène à travers l’interstice de la couverture. Elle but cul sec comme les autres. Puis ils se levèrent et vinrent me voir en rigolant : ils observaient mon sexe, encore plus petit que la normale au vu des circonstances, et se marrèrent. Ma femme me fixa dans les yeux, avec un air dédaigneux, sans pitié… Le plus vieux déboutonna sa braguette et sortit son sexe, très épais, au moins le double du mien et plus long aussi. Il s’approcha et il me la frotta sur le visage. Je tournais la tête et regardais ma femme d’un air implorant, elle paraissait subjuguée…. Ils retournèrent se mettre à table et se resservirent une vodka. Je n’entendais pas la conversation. Justine riait beaucoup : la vodka faisait son effet… Au bout d’un moment, Agueï prit la main de Justine et la posa sur son bras. Elle observa, puis caressa son tatouage. Il se leva et enleva sa chemise. Il avait des tatouages partout sur le corps, jusqu’au cou. — Touche, touche ! dit-il en riant à ma femme. Elle suivait les contours des dessins avec ses doigts en posant des questions. Puis il prit la main de Justine fermement et la posa sur son sexe. — Là aussi, j’ai des tatouages, dit-il. Il bandait, son pantalon était tendu. Il guidait sa main en la forçant un peu, la ...
    ... faisant aller et venir sur tout le long de son sexe. — Arrête Justine, ne fais pas cela ! je t’en prie, dis-je d’une voix tremblante. Agueï se retourna et avança dans ma direction, résolu à me bastonner. Justine le rattrapa par le bras et posa délibérément sa main sur son sexe et le caressa. De ses grosses mains, il lui malaxa la croupe profondément. Elle continuait de le caresser et se serra tout contre lui. Elle l’embrassa sur les lèvres. Puis, prenant probablement conscience du spectacle qu’elle donnait aux trois autres types, qui bandaient comme des Slaves sans en perdre une miette, elle lui dit quelque chose à l’oreille. En regardant cela, je ressentais une humiliation et en même temps, une espèce d’excitation. Je ne bandais pas, mais je mouillais, une étrange sensation, j’étais fasciné et étonné par ma femme, elle si prude en temps normal : des larmes coulèrent sur mes joues… Ils se dirigèrent dans ma direction. Agueï me prit par le col pour m’éjecter. — Laisse-le, comme ça il sera sûr d’être cocu, lui dit-elle. J’étais à peine à un mètre d’eux toujours sur les genoux. Je la fermais pour ne pas me prendre une nouvelle baffe. Il la prit dans ses bras pour l’embrasser et lui pétrir le cul, elle caressait son gros membre. Il la souleva et l’assit sur le lit. Il lui releva sa jupe sur le bassin. Elle portait un collant mi-cuisse et un string. Malgré mes demandes répétées, elle n’avait jamais voulu porter ce genre de sous-vêtement. Avait-elle décidée par avance de me tromper ce ...
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