La gifle
Datte: 03/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... voulait pas les voir là, qu’elle voulait rester seule avec lui. Agueï parla en Slave à ses gars, tout en me désignant d’un mouvement de menton. Les types se marraient et m’ont traîné dans la salle par le col de ma veste, à côté de la table, toujours à genoux. Le plus vieux s’avança vers moi et frotta sa braguette sur mon visage. Je baissai la tête, la détournai pour qu’il s’arrête et je reçus encore une énorme baffe. Il prit une bouteille de vodka, but une longue rasade et me mit le goulot dans la bouche, en me menaçant de me casser les dents si je refusais, il tira sur mes cheveux : j’avalais le reste de boisson et manquais de m’étouffer. Il fit un va-et-vient dans ma bouche avec le goulot. Ils riaient. Il déboutonna sa braguette et me passa son sexe sur mon visage. Mes yeux sont grands ouverts, il me fixa d’un air méchant et résolu en me tirant les cheveux vers l’arrière. — Suce ! Il appuya sur mon menton et me déposa son sexe mou dans la bouche. Les larmes coulèrent sur mes joues. Il faisait des allées et venues avec ma tête en tirant sur ma crinière comme si ma bouche lui servait de sexe. — Regarde-moi, dit-il. Je le regardais dans les yeux, son membre commençait à durcir, je le sentais s’épaissir et s’enfoncer aux tréfonds de ma gorge, je m’étouffais à moitié. Un des types tira sur mon pantalon, je reculai et dus faire mal au vieux qui me mit encore une baffe. J’étais cul nu avec ma veste et ma cravate qui pendouillait. Je comprenais alors ce que leur avait dit ce ...
... salaud de Agueï maintenant… Le vieux s’assit sur une chaise et me fit reprendre la fellation. Un des types me malaxa le cul en écartant ma raie des fesses. Il tenta de rentrer directement sa grosse bite dans mon cul. J’eus un mouvement de recul, mais le vieux tira encore plus sur les cheveux. Il tenta de me l’enfoncer encore sans résultat. Je gueulais tant que je pouvais, mais le vieux m’enfonçait son sexe dans la bouche. Le vieux parla en slave, et le troisième rapporta une bouteille d’huile. Il s’enduit les doigts et a commença à me travailler la rosette, un doigt, puis deux, je pleure. Le vieux se lève, stoppant la fellation, son collègue prend sa place, il bandait déjà. Son sexe était plus petit et l’homme était plus doux. Il posa sa main sur le côté de mon visage et m’invita à le sucer docilement. Autant faire de mon mieux pensais-je. J’avais quand même des hauts le cœur quand il donnait un petit coup de reins, il riait, mais restait doux tout en me parlant en slave. Je m’appliquais… C’est le vieux qui s’occupait de ma rondelle maintenant. Je n’osais pas m’imaginer sa grosse queue dans mon cul, je faisais déjà un gros effort pour que son sexe tienne dans ma bouche distendue, douloureuse. Il savait y faire le salaud. Il me branla tout en travaillant ma rosette qui devint de plus en plus sensible, il arrivait même à me soustraire des petits frissons corporels, il s’en amusa. - Khorosho, khorosho, dit le vieux. Il me tira la tête en arrière brutalement en tirant sur mes cheveux, ...