1. La gifle


    Datte: 03/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... stoppant net la fellation. — Aie, arrête, implorais-je, tu me fais mal ! Je sens son sexe sur ma rosette, il força, il appuya sur mes reins pour me cambrer, mais sa queue ne rentrait pas. Il parla alors à son collègue qui le remplaça. Il posa sa bite sur mon anus, força un peu et entra d’un seul coup. J’ai poussé un cri et je me cambrais. Il resta un moment enfoncé complètement. J’écartai les jambes et mon derrière pour relâcher l’étreinte de mon anus sur son sexe. Il commença son va-et-vient et me prit par les hanches pour régler la cadence. L’autre me leva la tête et je repris la fellation. Tout comme Isabelle quand on l’avait baisée à deux, je synchronisais ma respiration et mes mouvements de bouche et de hanche… C’est moi qui dirigeais le mouvement de va-et-vient maintenant. Le vieux dit quelque chose en se marrant. Je continuais en m’appliquant. La ressenti de sa bite dans mon fondement me faisait vibrer, ce n’est plus désagréable... Le collègue du vieux me gicla dans la bouche à ce moment-là en me tenant fermement la tête, sa bite enfoncée au fond de ma gorge, j’avalai tout. Je m’arrêtai d’onduler manquant de m’étouffer, il retira sa queue. L’autre me reprit par les hanches et me pilonna dans un rythme rapide et saccadé. Je fus secoué comme un pantin. Je l’accompagnais en haletant et en poussant de cris à chaque coup de boutoir. Ses couilles s’entrechoquaient sur les miennes. Le rythme était endiablé. Il gicla toute sa sauce rapidement. Il se retira brutalement, je me ...
    ... redressai en poussant un cri et il vint s’asseoir sur la chaise pour que je le nettoie avec ma bouche. Je repris ma respiration, et lui demandais de me détacher, il accepta et on coupa mes liens. Pour prouver ma bonne foi je lui pris la bite et la glissa dans la bouche, je le nettoyais avec application, ce n’était pas agréable, mais c’était le prix de ma liberté. Je sentais le sperme couler sur mes cuisses. Le vieux posa alors son gland sur ma rosette et força pour rentrer, il a une plus grosse bite, aie, ça faisait mal, je paniquais. Il ajouta de l’huile et reprit sa besogne. En rentrant d’un seul coup dans mon cul, près de la rupture, il m’arracha un cri de douleur. Il commençait doucement à me limer, j’écartais mes fesses avec mes mains pour élargir mon petit trou et j’accompagnais ses mouvements tout en poussant des râles de douleur. Il était endurant le vieux, son sexe glissait facilement dans ma corolle maintenant depuis plusieurs minutes, la douleur fit place au contentement, le contentement au plaisir. Il me possédait et je l’assumais : mes râles n’avaient plus la même signification… — Bonne pute, me dit le vieux. Mon cul faisait un bruit de succion à chaque aller-retour, j’étais complètement ouvert, j’étais son objet sexuel. Il me lima un long moment encore puis me branla, gicla dans mon fondement, en s’enfonçant au profondément, m’arrachant un grand cri final quand j’éjacula. — Un petit sourire ! Je tournai la tête. Ma femme me filmait avec son portable. Elle me dit ...
«12...5678»