Label Bouchère
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
fplusag,
couple,
extracon,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
... plus marqués, plus vieillis. Sa mère n’est plus tout à fait la même, mais elle a conservé le même indéfinissable charme malgré les années. Je me dis que si Joëlle vieillit de la même façon, ce sera tout bon. J’imagine fort bien retrouver en Joëlle ma belle bouchère d’il y a vingt ans dans vingt ans, celle de ma jeunesse. Vous suivez mon raisonnement ? Sinon, ce n’est pas grave, je me comprends et c’est l’essentiel. Je sens que ça me fera tout drôle, mais quel plaisir de pouvoir enfin abuser d’elle comme dans mes rêves les plus fous. Quoique… j’abuse déjà bien d’elle actuellement ! Entre eux et moi, debout, un peu crispée, Joëlle me présente : — Voici Denis Mounier, mon… mon fiancé… La coupant dans son élan, je m’avance vers ses parents, en lançant : — Bonjour, Monsieur et Madame Bonnet… Vous n’avez pas changé depuis tout ce temps. L’ancien boucher hausse un sourcil interrogateur tandis que sa femme, plus loquace, demande : — Comment ça ? Depuis tout ce temps ?— Vous teniez une boucherie sur la place de la mairie de Corbrecourt.— C’est vrai, c’était à Corbrecourt. Mais ça date ! Comment savez-vous ça ?— Je suis Denis, le petiot Denis, comme vous disiez, il y a vingt ans.— Denis ? Le petiot Denis ? Ah oui ! Houla, t’as bien grandi depuis ! T’es devenu un vrai homme. C’est au tour de Joëlle d’être étonnée : — Tu connais mes parents ?— Oui, je les ai reconnus tout de suite. Quand j’étais enfant, c’est chez eux que ma mère m’envoyait chercher de la viande.— Du jambon surtout, ...
... je me rappelle.— Du jambon, c’est vrai. Ma mère nous nourrissait surtout à coup de jambon, de saucisses et parfois de charcuterie. Plus rarement de la viande. Et là, à ma grande stupéfaction, se levant d’un bond, Madame Bonnet me prend carrément dans ses bras. Je ne sais pas quoi faire. Des tas de souvenirs remontent à la surface. Joëlle râle : — Maman ! Il est à moi !— T’inquiète, ma fille, c’est plus de mon âge !— Avec toi, je me méfie ! Et elle m’arrache littéralement à sa mère, pour me regarder d’un air suspicieux : — À quoi tu penses, là ? T’as un drôle d’air !— Au passé, ma chérie. J’ai eu comme une… enfin, plein de souvenirs qui me sont revenu, mes copains, mes jeux dehors, l’école, tout ça quoi.— Tout ça, rien qu’en te jetant dans les bras de ma mère ?— Je te signale que c’est plutôt ta mère qui… Et puis, depuis quand tu es jalouse, toi ?— Je ne suis pas jalouse ! Amusé, je souris. Fronçant des sourcils, Joëlle me lance : — Arrête avec ton petit sourire satisfait !— À condition que tu me fasses un bisou…— Tu rêves ! Et encore plus en face de mes parents ! Plein d’assurance, je lance mes bras vers elle, et avant qu’elle ne puisse réagir, je l’attire contre moi pour l’embrasser sans pudeur. Plutôt surprise, elle se débat faiblement. Après quelques instants, je décide de la relâcher. Un petit sourire aux lèvres, son père hoche la tête ; sa mère, les mains sur les hanches, déclame : — Eh ben ! Il a bien changé, le petiot Denis !— En quoi, Maman ?— Il était nettement plus ...