Label Bouchère
Datte: 04/03/2020,
Catégories:
fh,
fhhh,
fplusag,
couple,
extracon,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
... même si j’avais vu une fillette derrière le comptoir, je ne suis pas certain d’en avoir gardé le moindre souvenir, j’étais alors trop préoccupé par les appas de Madame sa mère. De plus, je m’aperçois qu’il m’est définitivement interdit d’en parler à Joëlle, car celle-ci n’apprécierait pas beaucoup d’être un substitut, surtout vis-à-vis de sa génitrice. Je reconnais que mon attirance pour elle est liée à sa forte ressemblance avec la belle bouchère de ma jeunesse, mais ce que j’éprouve pour elle actuellement dépasse le fait qu’elle soit un sosie. Tout le reste de la journée, je fais attention à ce que je dis, et malgré ma joie d’avoir revu le fantasme de mes jeunes années, je suis content quand nous partons de chez les parents de ma chérie. Aussitôt dans la voiture et après les bye-bye de circonstance, Joëlle me questionne : — C’est dingue, ça ! Tu allais à la boucherie de mes parents ?— Oui, si je ne dis pas de bêtise, je devais avoir dans les treize ans quand je suis arrivé à Corbrecourt.— Je vois que ma mère t’a laissé un souvenir impérissable.— Tu sais, dans un petit village, tout le monde connaît tout le monde. De plus, à l’époque, les grandes surfaces ne pullulaient pas dans le coin… Si j’ai bon souvenir, il y avait une boulangerie, une boucherie et une épicerie, sans compter quelques cafés. Pas plus.— Moui… Je sens que Joëlle est dubitative, je ne voudrais surtout pas qu’elle soupçonne un commencement de vérité. Hélas pour moi, elle continue sur sa lancée : — Quand ...
... nous nous sommes rencontrés, tu as dit que j’étais la femme de tes rêves…— Tu es toujours la femme de mes rêves…— T’es sûr de ne pas avoir fantasmé sur ma mère ? Je soupire : — Ma chérie, j’avais quel âge à l’époque ? J’étais plus intéressé par les petits soldats, le foot, la télé et les copains que par les femmes matures qui auraient pu être ma mère !— Moui…— De plus, si je ne peux pas nier une certaine ressemblance, tu n’es pas ta mère, tu es toi, tu es différente.— Ce que tu dis…— Pour tout te dire, j’ai toujours eu un faible pour les pulpeuses actrices italiennes. Et je suis loin de détester les femmes avenantes et pleines de gracieuses courbes. Le style sec et anorexique, très peu pour moi. Toi, tu es mon idéal, et je t’aime et tu le sais très bien. Si je n’avais pas de sentiments pour toi, de réel amour, de confiance, je pense qu’il y a certaines choses qui n’auraient pas pu exister entre nous. Je me trompe ?— Pas faux… Soudain, je découvre une petite aire de stationnement. À la grande surprise de ma chérie, je m’y arrête. Elle demande : — Tu… tu fais quoi, là ?— Ne t’inquiète pas, je n’ai pas prévu de t’abandonner sur le bord de la route. Je fais le tour de la voiture et j’ouvre sa portière. Avec une certaine hésitation, elle sort de la voiture. Aussitôt dehors, je l’enlace et la presse contre moi. Elle pousse un petit cri de surprise. Je la rassure : — Ma chérie, c’est toi que j’aime, et c’est avec toi que je désire passer le reste de mes jours. Je ne suis pas très doué ...