La porte aux fous plaisirs…
Datte: 05/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Lesbienne
... combinaison. Curieuse de nature, je me demandais comment percer ce mystère. Que pouvait-il y avoir de si important derrière cette entrée surprotégée ? Pour le savoir, je mis en place un petit plan ingénieux : Il y avait entre nos chambres un mur en pierre avec un trou suffisamment petit pour ne pas alarmer la patronne mais suffisamment grand pour que je devine ce qui se passait dans la pièce. Mais, le problème était que ce trou ne donnait pas sur le digicode alors je décidais de placer un miroir sur la commode en face qui me ferait voir le lit et la porte protégée.Le premier soir, la patronne était partie en visite alors je dus prendre mon mal en patience… ce fut le second soir qui changea toute mon existence : Comme je regardais par le trou, je vis soudain Mme de Thomas s’approcher de son lit mais au lieu de s’y coucher, elle se dénuda, posa sa robe de chambre et se retrouva ni plus ni moins qu’en tenue d’Eve… Je restais bouche bée devant ce spectacle qui ne s’arrêta pas là.Je vis madame commencer à se triturer le bout des seins comme si elle voulait en faire sortir du lait. Ses doigts s’agitaient avec force sur ses globes terminés par des tétons très pointues, elle commença à soupirer mais s’arrêta rapidement…. devant cette séance de pelotage, je dois avouer que mon entrejambe m’appelait moi-même au plaisir. Je sentais mon vagin mouiller et bien que je n’aie jamais été attiré par les femmes, je me sentais m’évader vers de sommets de jouissance. Frénétiquement, je ...
... descendais ma main sous ma culotte et entamai une savante masturbation… sans comprendre, sans me comprendre. Pourquoi avais-je envie de doigter ma nénette moi qui avais une vie sexuelle tout à fait semblable à celle de millions d’autres ?… Je ne pouvais répondre alors que mon corps se cambrait sous les caresses, dus aux titillements clitoridiens que je m’imposais… Mais alors que je me branlais comme une catin, je vis soudain madame se rendre toujours nue vers le digicode et appuyer sur quatre touches que je reconnues non pas pour les avoir vu mais par rapport aux fréquences sonores. La porte s’ouvrit, madame y entra et elle se referma soudain. Une heure passa quand j’entendis cette dernière s’ouvrir enfin :Madame en sortit à poil mais quelque chose avait changé : elle avait sur son visage et sur ses seins, que je situais vers le 95 D, une sorte de crème blanche et cela en grande quantité… Je ne comprenais pas ce que cela pouvait être lorsqu’une idée perverse me traversa l’esprit : et si c’était du. Sperme ?… Je rigolais, il devait s’agir de savon mais alors comment expliquer que madame se soit lavée puisque peu de temps avant, elle sortait de la salle de bains ?Je continuais à la regarder : elle se rendit vers son lit et laissant traîner ses doigts sur son torse nu, elle les mit un par un dans sa bouche dans des bruits de succions très indiscrets mais qu’elle devait penser sourds à mes oreilles. Son autre main lui servait à se caresser le minou, lentement, sensuellement… Et moi, je me ...