1. La porte aux fous plaisirs…


    Datte: 05/03/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Lesbienne

    ... disais : demain soir, elle sera absente. Je tenterais de rentrer dans sa chambre, je ferais le code et je découvrirais ce qui peut l’avoir dévergondée à ce point.Je me réveillais le matin vers 7 heures, encore émoustillée autant qu’intriguée par ce que j’avais vu hier soir. Comment expliquer que ma patronne après être passée nue derrière cette porte en soit ressorti maculée d’une crème blanche qui laisse penser des choses coquines sur son occupation dans ce lieu secret, du moins censé l’être car j’avais le projet d’aller voir l’envers du décor !La journée passait lentement, je savais que la patronne n’était pas là ce soir. J’irais donc faire semblant de me coucher dans ma chambre, mais au lieu de ça, je franchirais la porte aux fous plaisirs !Vingt-deux heures…Je passais la porte de la chambre de Mme de Thomas et dans un silence pesant d’angoisse et d’excitation, je m’approchais de la porte pour taper le code fébrilement !… Deux… Cinq… Neuf… Quatre.Était-ce le bon ?… Je me posais la question quand le verrou sauta, alors je franchissais rapidement le seuil de la pièce qui s’alluma à mon passage. Ce que je vis me figea sur place !Il y avait trois hommes, attachés, avec des casques sur les oreilles et des masques sur les yeux…ils ne m’avaient même pas entendu entrer, sans doute que le casque devait diffuser un son assez fort. Mais ce qui me choquait surtout, c’était leurs vêtements… tout simplement parce qu’ils n’en avaient pas. Oui, ils étaient tous nus. Je pouvais voir ...
    ... leurs queues molles qui étaient maintenu dans un anneau prolongé par un bras qui rejoignait une machine assez imposante !… A quoi ce matériel pouvait-il bien servir ? Je me posais la question, alors que je sentais mon sexe s’humidifier peu à peu. J’essayais de ne pas y prêter attention, toujours plongé dans ma réflexion.Mais soudain, je vis apparaître un rai de lumière sous la porte que j’avais refermé… Mon dieu ! La patronne était de retour. Je cherchais très vite un interrupteur pour éteindre la lumière, le trouvai et plongea la salle dans la nuit. La panique me gagna et ce encore plus quand je vis l’ombre de ses pieds devant l’entrée. Je décidai de me cacher au fond de la pièce derrière un siège. De ma position, je pouvais voir ce qui se passait. La patronne, comme hier, était nue. Je pouvais voir ses formes généreuses et sa belle chatte. Et, comme hier, je me remis de plus belle à mouiller. Mais Mme de Thomas, pendant ce temps-là, s’était approché d’un pupitre avec des boutons dessus que je n’avais pas vu en rentrant. Je la vis appuyer sur des boutons, et alors sans que je ne comprenne pourquoi, je m’aperçus que les hommes se trémoussaient et que leurs quéquettes grossissaient peu à peu… Cela dura quelques minutes à l’issue desquelles la patronne appuya sur un nouveau bouton qui fit bouger les bras terminés par les anneaux. Ces messieurs avaient droit à une branlette en règle pendant que madame les regardait un par un, se gardant bien de toucher ces jolis membres qui me ...
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