Le vingt-deux décembre (acte d'amour)
Datte: 23/09/2017,
Catégories:
fh,
copains,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
... et je te sens dans le même état d’esprit. Tu t’interromps pour fermer la porte complètement et je sais que cela ne veut rien dire, que tu veux simplement qu’on ne soit pas dérangés, mais ton geste déclenche quelque chose en moi et lorsque tu te retournes je me rapproche de toi, je veux sentir ton odeur, sentir ton souffle contre moi. Tu restes très droite, un peu tendue, et tu saisis les doigts d’une de mes mains pour les serrer pendant que je frotte doucement ma joue contre la tienne. Lorsque je me penche en avant pour embrasser la peau de ton cou, m’enivrer de son goût et son odeur, tu poses tes mains à plat sur ma poitrine, dans un réflexe de refus. Ou peut-être par envie de sentir mon corps sous tes doigts. Ou peut-être les deux, car tout comme moi tu n’es pas étrangère aux contradictions. Tu t’es laissée tomber dans un des sièges de mon bureau, je me suis laissé tomber à genoux devant toi et ma bouche, mes mains devenues un peu folles, zigzaguent le long de ton corps, l’embrassant à travers tes vêtements. (Je maudis l’hiver qui t’a forcée à porter ces jeans si épais !) Tu me demandes de m’arrêter mais sans trop de conviction. Nous nous embrassons longuement, voluptueusement, moi au-dessus de toi, mes mains agrippées aux accoudoirs du siège. D’instinct, ton corps s’est déplacé vers l’avant pour venir épouser le mien ; je peux sentir ton ventre se contracter au contact de mon sexe tendu, qui forme maintenant une belle bosse à travers mon pantalon. Nos lèvres se décollent ...
... et tu prends mon visage dans tes mains et me dis en riant : — Il faudrait que je garde le contrôle un petit peu. Tu te pinces la lèvre, je vois que tu essaies de trouver un équilibre, et tu ajoutes : — Je ne veux pas le tromper… j’aime tes caresses mais n’enlève pas tes vêtements d’accord ? Oui ma belle, bien sûr que je suis d’accord, je vais respecter toute limite que tu m’indiqueras, et je sais que de nous deux c’est moi qui ai le rôle facile. En fait ça m’arrange de me voir interdire de me déshabiller, et donc la jouissance pour moi-même. Je vais pouvoir me concentrer sur toi. Je retombe à genoux devant toi et relève ton chemisier. Des tremblements parcourent tout mon corps lorsque mes lèvres entrent en contact avec ton ventre. Mes mains caressent tes jambes, remontant comme elles peuvent sous ton pantalon, pendant que je dévore ton ventre, le mordillant, léchant ton nombril, remontant jusqu’à la base des seins. Tes mains caressent mes cheveux, les miennes se débrouillent pour ôter tes souliers, tes bas, pour enfin caresser tes pieds nus, réchauffer tes orteils au creux de mes mains. Ta respiration s’est accélérée, et j’adore sentir ton ventre se contracter sous mes caresses. Je veux maintenant t’offrir autant de plaisir que possible alors je déboutonne tes jeans. Tu te soulèves juste assez pour me laisser tirer tes jeans, et je souris intérieurement à la vue de ta culotte déjà humide – j’ai tout de suite envie d’en lécher, d’en sucer le tissu pour récupérer tes fluides. Je ...