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Le repas de Pascal (1)
Datte: 07/03/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme
... depuis longtemps car il ne met pas beaucoup de temps avant de se vider dans mes entrailles. Une fois qu’il a jouit, il rentre son sexe dans son pantalon et repart sans un mot. Je remonte dans la salle, je décide de faire le tour de la salle d’en bas, il n’y a que trois personnes, mais elles me regardent étonnées sans autres réactions. Je remonte au balcon, je suis assez fatigué et décide de rentrer chez moi. J’enfile mon short et ma chemisette et sort de la salle. Pascal me suit. –Je t’invite à boire un pot. –Ok. Nous allons dans un bar de la place voisine. –Ça te dis qu’on se revois ? –Tu sais, je ne suis pas homo, j’aime avoir une bite dans le cul, recevoir une bonne giclée dans la bouche, mais les petits bisous, câlins et autres, c’est pas ma tasse de thé. –Ne t’en fait pas, je suis comme toi, j’aime les bites des mecs, les enculer comme les femmes d’ailleurs, me faire enculer, mais je suis comme toi, ça s’arrête là. –Ok –Simplement, j’habite dans un immeuble au troisième et il y il y a un hôtel en face, je m’exhibe avec mes potes, je pense que ça pourrait t’intéresser. –Bien sûr que ça m’intéresse. –Tu peux venir maintenant ? –Oui, mais pas longtemps, il faut que je rentre pour mettre au point une soirée. –Tu pourras venir Samedi soir, je serais seul. –Justement, j’ai un rendez-vous avec deux copines, qui te plairaient j’en suis sûr, pour préparer la soirée de samedi soir, je ne sais pas ce qu’elles ont prévu, je peux simplement te dire c’est que c’est de l’exhibe. –Ça ...
... ne me dérange pas que tu viennes avec elles. –Ok, je te dis ça une fois rentré. –On va chez moi, c’est juste à côté. –Ok Nous mettons à peine cinq minutes à pied pour arriver devant un immeuble de dix-neuvième siècle de trois étages. L’ascenseur est à l’ancienne, c’est une cage vitrée donnant sur l’escalier qui monte autour. Nous montons dedans, il a démarré depuis deux secondes que je sens mon short descendre le long de mes cuisses. Pascal s’amuse, mais ça ne me gêne pas, j’adore être les fesses à l’air, et la situation m’excite au point que ma bite se redresse un peu. –Putain, un rien te fait bander. –J’adore m’exhiber. Nous arrivons à son étage, je sors de l’ascenseur le cul nu et entre dans un bel appartement avec de très hauts plafonds. Dès le hall d’entrée, Pascal se déshabille et laisse tomber ses fringues par terre. Je l’imite avec plaisir. Nous arrivons dans un salon avec trois grandes portes fenêtres montant jusqu’au plafond et donnant sur un balcon de cinquante centimètres de large. En face, un hôtel d’un étage de plus, et une multitude de fenêtres. –Suis moi. Je le suis dans une pièce, elle aussi a trois portes fenêtres allant jusqu’au plafond et donnant sur le balcon. Un grand lit trône contre un mur aveugle, en face, est suspendu un sling à un montage en bois. Il y a bien des rideaux, mais ils ne sont là que pour la décoration, très ajourés, ils ne cachent absolument rien. Il se dirige vers le sling, je le suis. –Ça te dis ? –Tu parles que ça me dit. Je m’allonge ...