1. Petit bourgeois surdosé (3)


    Datte: 07/03/2020, Catégories: Gay

    ... mes muscles étaient douloureux, plus que la première nuit où, finalement, j’avais été très souvent allongé, alors que là, j’avais davantage été à genoux ou accroupi, m’empalant sur des bites, ce qui avait sollicité mes cuisses. Pendant notre toilette sommaire, rendue possible grâce au nécessaire que Marie-Clotilde avait pris soin de mettre dans le coffre, notamment deux jerricans d’eau et des lingettes, Florian et Daniel devisaient avant que le dernier ne disparaisse. Nous le retrouvâmes à la barrière, toujours nu comme un vert. Il nous l’ouvrit en nous saluant d’un pouce levè et d’un balancement des hanches qui fit danser son gros sexe mou de la plus obcène des manières. Il était plus de vingt heures quand j’arrivai dans ma coloc, bien décidé à aller prendre une douche pour achever de me laver. Car un jerrican ça ne décrasse pas autant qu’une douche Simon était dans la cuisine. J’avais plus envie de me nettoyer que de lui parler mais je me dis que, si je ne le coinçais pas là, il fuirait encore et je voulais avoir une explication avec lui. J’entrai donc. - Salut. Il était incroyablement mal à l’aise. - Salut. - Tu vas bien ? Dis-je d’un ton assez autoritaire. Il était assis et je choisis de rester debout, cul appuyé contre l’évier, face à lui. - Oui, oui, et toi ? - Je suis claqué, répondis-je en m’étirant et passant mes bras derrière ma nuque. Y’a un moment que je ne t’ai pas vu... - Oui, ben oui... beaucoup de Taf là... Je vis qu’il me regardait bizarrement, des pieds à la ...
    ... tête. Pour mon retour, j’avais mis un débardeur et un short, comme si je rentrais du sport. Je me figurais qu’il admirait ma musculature. Ce n’était pas par hasard si j’avais passé mes bras derrière ma nuque. Cela met en valeur les biceps et les muscles des épaules. - Ah, le taf, bien sûr.... - Oui.... - Mais qu’est-ce que tu as à me regarder comme ça ? - T’as... t’as encore baisé avec Florian ? - Que... qu’est-ce que tu racontes ? Demandai-je en rougissant. Cette question directe m’avait désarçonné. - Tu as du sperme collé dans les poils ... enfin je crois que...que c’en est... Je regardai sur mes jambes, passant ma main sur mes cuisses. Il se leva et s’approcha. Ma pilosité est assez dense. Je ne me rasais jamais les jambes, mais toujours le torse, les aisselles dès qu’elles sont trop fournies et, depuis que je me faisais baiser, c’est à dire depuis peu, systématiquement les couilles et le sillon du cul. Je ne vis rien sur mes cuisses. - Plus bas, sur le mollet gauche ! Je me penchai et, effectivement, j’avais une énorme boulette séchée accrochée sur le côté. Je l’arrachai, entraînant des poils avec elle. J’avais honte. C’est rien de le dire. - J’crois que tu en as aussi sous l’ aisselle.... beaucoup... C’est pas discret ! J’avais de plus en plus honte. Les litres d’eau du bidon avait enlevé le plus gros sur la tête, le torse et le reste du corps, mais mon entretien avait été trop sommaire pour effacer toutes traces du gangbang. Je soulevai mon bras gauche pour aller tâter ...
«1...3456»