1. Le redressement fiscal


    Datte: 12/03/2020, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession,

    ... troisième bouton saute, mes seins sont dévoilés, mes aréoles à peine dissimulées sous les broderies noires. Nous nous regardons l’un l’autre, figés, comme aimantés, pendant un long moment. C’est alors que la porte s’ouvre et Lambert entre dans le bureau. Heureusement, je suis dos à la porte, me penche brutalement et me reboutonne prestement. Le chef comptable me jette un étrange coup d’œil, dépose des documents sur son bureau, échange quelques propos avec Merlin et s’éclipse en me dévisageant lubriquement et en me lançant : — Vous êtes particulièrement désirable, Mademoiselle, ces temps-ci ! Je rougis ; je me demande ce qu’il a vraiment vu. Et j’ai bien compris que désirablevoulait dire, dans sa bouche, baisable. Troublé par le seul bruit des feuilles que retourne mon colocataire, un long silence s’installe entre nous. Il le rompt en me susurrant : — Élodie, chaque jour, je veux vous découvrir un peu plus… Et une fois encore, son regard m’enveloppe, me fait fondre, fait naître des ondes lancinantes dans le creux de mes reins. Malgré moi, mes tétons pointent sous ma robe, et il s’en rend bien compte. Je me demande quel sens il a mis sous le mot découverte. Le lendemain, lorsque j’arrive, il me fait signe de ne pas m’asseoir et me mate le ventre. Restée debout, je devine sa requête, remonte lentement ma jupe et lui révèle un adorable petit string rose. Tel un chien à l’arrêt, il le fixe si fort que j’en deviens humide. Un bruit dans le couloir, je m’assieds en vitesse. Nous ...
    ... reprenons nos tâches, lui presque comme s’il ne s’était rien passé, moi languissante et essoufflée. Puis vient son commentaire, assorti d’un premier tutoiement : — Élodie, tu es encore plus belle quand tu portes des bas ! Ce mercredi matin, j’ai fait l’impasse, pour la première fois au bureau, de mon soutien-gorge, mais ai mis bas à coutures et porte-jarretelles sous un ensemble jupe/corsage jaunes. À mon arrivée, il va se mettre dos à la porte et me fait signe de m’avancer au milieu du bureau, puis de marcher. Je me déhanche comme une miss dans un concours de beauté, ôte un à un les boutons de mon corsage et, en me retournant, lui fais face par défi, seins nus. Il me fait signe d’approcher, avance la main vers moi, m’effleure un téton, lisse sa main vers ma jupe, en descend le zip. Ma jupe tombe au sol, j’ôte complètement mon corsage, vêtue seulement de mon porte-jarretelles, de mon string et de mes escarpins. Docile à ses consignes, j’arpente le bureau. Heureusement qu’il n’y a pas de vis-à-vis ! Après un long moment, d’une voix rauque, il m’enjoint : — Maintenant, tu peux te rhabiller ! Je suis presque déçue, pantelante, haletante. S’il m’avait couchée sur le bureau, je l’aurais laissé faire, et même plus ! Je hais cette manière qu’il a de me rendre folle d’envie et de ne me toucher que des yeux, qui me laisse en proie à des désirs torrides. Jeudi matin, mon boss arrive, nous salue à peine, s’enferme dans son bureau, m’appelle. Il me demande comment ça se passe avec mon ...
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