Le redressement fiscal
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
... acolyte et m’interroge longuement sur les pièces comptables qu’il a examinées. Je les lui énumère, en soulignant qu’il va souvent directement à la compta, et que ma liste n’est donc pas exhaustive. Mon boss me réprimande, je devais le coller. Je renvoie l’affaire sur Lambert. Lorsque je retourne dans mon bureau, Merlin n’est pas là, mais je trouve un petit mot sur mon bureau. Il m’invite à déjeuner au Petit Goulu, sympathique bistrot pas trop loin du bureau. Lorsque je le rejoins, à l’heure dite, j’ai le cœur qui bat comme une midinette. Je ne me comprends pas : je me suis, spontanément ou presque, dévêtue devant lui, et je tremble de le retrouver pour une invitation à déjeuner ! Il se lève galamment, lorsqu’il m’aperçoit. La table qu’il a réservée est nettement à l’écart, les sièges sont du même côté de la table, il nous commande deux apéritifs maison sans même me consulter. Cette mâle assurance me plaît, je me sens comme protégée à ses côtés. Nous commandons, puis il me dit : — Élodie, avez-vous la signature dans votre entreprise ? Je sursaute ; je m’attendais à tout, à des propositions scabreuses, voire une déclaration d’amour, mais pas à cette question d’ordre professionnel pour cette première rencontre en dehors de mon univers d’assistante de direction (presque) parfaite. — La signature ?— Oui, le pouvoir d’engager l’argent de votre entreprise !— Non, pourquoi ?— Parce que, dans mes vérifications, j’ai trouvé des dépenses signées de votre main, des robes, des dessous, ...
... des chaussures, du maquillage, du parfum, bref, des dépenses qui échappent largement du cadre de l‘activité normale de votre entreprise ! J’éclate en sanglots, me rappelant ma folle après-midi de course. Alors il a un geste qui marque la vie d’une femme, il m’attire contre lui, son bras autour de mon épaule, éloignant le garçon d’un regard pour protéger notre intimité. — Racontez-moi, Élodie Sans me préoccuper de mon maquillage qui coule sur sa chemise, en sanglotant, je lui narre les exigences de mon patron. Il m’écoute, grave, attentif, me couvant de ses merveilleux yeux bleus. Il me sourit, essuie de son mouchoir mes larmes qui ruissellent, et me dit, me tutoyant de nouveau : — Tu sais, ce n’est pas grave, je ne contrôle pas cette année, mais les précédentes ! Et il me serre très fort entre ses bras puissants. Il pose une main sur ma cuisse, la remonte lentement, jusqu’aux frontières de mes dim-up. Je suis bien dans ses bras, je le laisse faire, et ferme les yeux. Sa main se retire brutalement, je sursaute et ouvre des yeux bouffis, le garçon est devant nous, nous servant l’entrée. Il se moque gentiment de moi, et nous attaquons nos assiettes. Celles-ci finies, je prends délicatement sa main, la glisse sous ma jupe, la pose sur mon shorty. Ses doigts sont doux, et me masse délicatement à travers le voile. Je ferme à nouveau les yeux, de bonheur cette fois. Il explore mes lèvres, y pousse le voile de mon shorty ; des frissons me parcourent, je me sens toute humide. Je me ...