Le redressement fiscal
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
confession,
... soulève un peu et lui glisse à l’oreille : — Enlève-le Ses doigts s’accrochent à l’élastique de la ceinture et, lentement, très lentement, il le glisse sur mes cuisses, sur mes genoux, sur mes jambes et l’ôte, le posant ostensiblement sur la table. Pour la première fois, je soutiens son regard. Lorsque le garçon s’approche pour nous amener la suite, très négligemment, il le pousse vers moi, comme pour me désigner comme sa propriétaire. Le garçon me transperce d’un regard lubrique, regarde un instant l’objet si incongru sur une table de café, louche dans mon décolleté et finalement nous sert, comme à regret. Mon compagnon glisse mon shorty dans sa poche et je reprends sa main, la pose sur ma fleur. Il glisse ses doigts en moi, titille mon bouton. C’en est trop, je me mords pour ne pas crier et ruisselle à flots sur sa main. Lorsque je reprends conscience, je croise le regard égrillard du garçon, à nouveau devant nous. Je me doute qu’il n’a pas perdu une miette du spectacle que je lui ai offert. Il m’est impossible, aux toilettes, d’effacer toutes les séquelles des dégâts causés par la main fureteuse de mon contrôleur, car je ne peux ôter ma jupe et me retrouver nue si une autre cliente rentrait. Je pare au plus évident, mais je vais devoir rentrer au bureau avec une jupe dans un drôle d’état. Je dois même, sous son œil égrillard, sécher mon siège lorsque je le rejoins ! Alors que nous en sommes au café, mon homme me dit : — Élodie, vendredi soir, je viendrai chez toi. Mets ...
... la robe Cacharel Tamaris La robe Cacharel est une mini robe rose sombre, outrageusement décolletée et m’arrivant au ras des fesses. Décidément, il s’est bien documenté sur mes achats ! Et comment connaît-il ce modèle ? Tout l’après-midi, j’ai avec délice exposé mon minou nu aux yeux de mon vis-à-vis. Pour la première fois, je suis maîtresse du jeu. Le soir, après avoir affronté sans culotte les couloirs du métro, j’ai appelé Benoît, et, prétextant une visite chez ma mère, lui ai fait part de mon indisponibilité pour le week-end. Cette journée de vendredi s’écoule, plutôt calme. Mon boss étant dans son bureau, nous restons tous les deux sages. J’ai un nœud au creux des reins, en pensant à la soirée qui s’annonce. L’après-midi, mon patron, Lambert et Merlin s’enferment en salle de réunion pour les questions finales. J’en profite pour m’esquiver plus tôt que d’habitude, achète au passage un bar à la poissonnerie et file me préparer chez moi. Après un long bain parfumé et un brushing appliqué, je prépare mon dîner en peignoir. Des asperges mousseline, un bar au fenouil, une crème au chocolat. J’adore cuisiner, je trouve cela très sensuel. Je mets aussi une bonne bouteille d’Alsace au frais. Je mets ma robe Tamaris et me regarde dans la glace. Vraiment, il m’est impossible de sortir dehors ainsi, je me ferais violer au premier coin de rue ! Le décolleté en V dévoile presque la moitié de mes seins, et le bas de la robe révèle très haut mes cuisses. Je n’arrive pas à trouver de ...