Initiation aux hommes
Datte: 12/03/2020,
Catégories:
hh,
hplusag,
jeunes,
oncletante,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
Oral
hsodo,
init,
confession,
oncle,
Gay
... démarche androgyne et des longs cils de mon neveu, associées à celles des pectoraux des rugbymen de l’équipe de France, se mêlent aux rotondités des fesses et des seins des femmes nues de Bettina Rheims. Et pourtant, je n’arrive pas à les chasser, j’y prends même plaisir. Je reviens avec mes deux cafés. Loïs est installé dans le salon et feuillette les albums. Les yeux fixés sur le papier glacé du calendrier des Dieux du Stade, il ne réagit pas quand je pose la tasse de café à côté de lui. J’observe son profil. Il a l’air absorbé par les courbes de chair et l’érotisme des corps dévoilés. Son souffle a l’air plus court et ses mains se sont légèrement crispées sur le papier. Troublé, ne sachant que dire ni que faire, je lance un bonsoir étouffé et me retire dans ma chambre. Une cigarette sur le balcon devrait calmer mon trouble. Appuyé sur la rambarde, je regarde les volutes de fumée monter et, malgré moi, les images de tous ces corps de femmes et d’hommes nus me reviennent à l’esprit et se mêlent à celles de mon neveu. Loïs a dû rentrer dans sa chambre car la fenêtre s’est éclairée. Inconsciemment je tourne la tête vers cette source lumineuse. Entre les rideaux à peine tirés je vois son ombre se déplacer sur le mur. Sans être un voyeur obsessionnel, la curiosité prend le dessus. Quelques pas sur le balcon qui longe la façade de l’appartement et je jette un regard discret et un peu honteux à l’intérieur de la chambre. Loïs a déposé les trois livres sur son lit et se déshabille. ...
... Le jean est jeté sur le dossier d’une chaise et les boots noirs sont méticuleusement rangés. La chemise rejoint le pantalon. En caleçon, il se coiffe d’un casque, règle son iPod et s’allonge sur le lit pour feuilleter les albums. Son long corps glabre et pâle tranche avec le bleu des draps. De ma position je ne vois que le bas de son visage, et de temps en temps le mouvement de sa tête quand il dégage la frange qui lui barre les yeux Pendant de longues minutes, il tourne lentement les pages, s’arrêtant plus longuement sur certaines photos. La main qu’il a posée sur sa cuisse descend lentement sous l’élastique de son caleçon. Au lent mouvement qui déforme le tissu, je devine qu’il se caresse. Inconsciemment, la mienne se glisse dans ma poche et joue distraitement avec mon sexe. Loïs pose le livre, s’allonge sur le dos et ferme les yeux. Ses deux mains saisissent l’élastique du caleçon et en levant les reins le font glisser. Il ramène ses deux jambes sur la poitrine et se débarrasse du dernier tissu qui le couvre. Mon sexe se tend subitement entre mes doigts, sous la doublure. Allongé sur les draps bleus, le corps pâle de mon neveu me fait penser à celui d’un gisant d’albâtre. Une sorte d’éphèbe grec androgyne. La finesse des traits de son visage lui donne l’aspect de celui d’une jeune fille à peine nubile, il ne manque sur la poitrine imberbe que le renflement naissant d’une poitrine juvénile. Le ventre est plat et en dessous des os qui marquent le bassin étroit, une couronne ...