Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... J’avais l’impression que mes seins allaient s’écraser sur le bureau tellement je m’y appuyais. Je sentais la sueur couler le long de ma colonne vertébrale. Mathis me demanda si ça allait, je répondis par un léger houmpf et il décida donc de continuer sa pénétration anale. Il poussait, poussait, poussait, et mon anus s’ouvrait, s’ouvrait, s’ouvrait… Je sentais sa queue me distendre, m’écarteler le petit trou. J’avais de plus en plus mal. — Aaaaaïïïïe !— Tu as mal, ma chérie ?— Oui, là ça fait trop mal, vraiment. Mathis, en parfait amant qu’il était, se retira, même si ce fut à regret, je pense, et il me dit : — Ce n’est pas grave ; je vais t’apprendre comment préparer ton anus ; ça se fera progressivement, mais je te jure que je finirai pas te prendre par là. Même si ça doit prendre un certain temps, je serai celui qui te dépucellera de ce côté. Il faudra que tu me promettes, en échange, de ne jamais accepter que ton mari te prenne par le cul.— Je te le promets, mon doux.— Non, tu n’as pas bien compris, je veux un engagement clair de ta part, sois plus précise.— Je te promets, mon Mathis chéri, que mon mari ne me prendra pas par le cul tant que tu n’auras pas été le premier à le faire.— Bien ! Voilà ce que j’attendais de toi, ma petite chienne. Mais Mathis n’en avait pas fini ; il n’avait pas joui, le pauvre petit chéri, et la seule chose dont j’avais envie à cet instant-là, c’était de le faire éjaculer, cracher, gicler, juter… Il me souleva et me reposa par terre, sur le ...
... sol, à genoux et les mains posées devant. À quatre pattes, quoi ! Je me sentais belle et désirable, je me sentais aguichante, je savais qu’il avait envie de me baiser, et c’était très agréable de se dire tout ça. Il s’est lui aussi agenouillé, derrière moi, et m’a donné quelques claques sur les fesses, sur la chatte par en dessous. J’en avais des frissons sur tout le corps, je sentais mon clito au bord de l’explosion. Puis il a posé son sexe sur mes grandes lèvres et a poussé très fort. Mais c’est pas vrai, cette queue qu’il avait ! C’est comme s’il me remplissait le corps en entier. Il m’a attrapée solidement par les hanches et a commencé à aller et venir en moi. Je gémissais comme une dingue, au risque que d’autres personnes nous entendent. Il m’agrippait les fesses, il me griffait le dos, il empaumait mes seins aux bouts durcis et me baisait, et me baisait… Mais combien de temps pouvait-il se retenir d’éjaculer, ce beau salaud ? Depuis combien de minutes, depuis combien d’heures se régalait-il de moi avec sa queue magique ? Han ! Han ! Il accélérait, décélérait, accélérait à nouveau. Il imprimait à tout mon être un rythme endiablé. Oui, c’est ça, c’était le diable en personne. J’étais au bord de l’évanouissement. Et c’est là qu’il survint, cet orgasme simultané, ce déchaînement de violence. Je n’ai jamais ressenti une chose pareille. Il a juste eu le temps de me prévenir qu’il allait jouir que j’ai senti une rivière de sperme s’écouler en moi, c’était un fleuve, une explosion ...