1. Cocu passé : Mathis


    Datte: 14/03/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, fépilée, hotel, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fgode, pénétratio, fdanus, yeuxbandés,

    ... de temps avec Mathis qu’avec Jean. D’abord, Mathis est un homme d’une beauté exceptionnelle : grand, plein de classe, un sourire ravageur, très bien habillé. Pas du tout le style de Jean. Ensuite Mathis est loin d’être quelqu’un de timide. Dès que l’on s’est reconnus, il a déposé un chaste baiser sur mes lèvres. C’était inutile, j’étais déjà conquise. Il m’a emmenée dans un grand restaurant et nous avons parlé de milliards de sujets ; il n’a jamais été inconvenant au restaurant, restant toujours à sa place, ce que j’ai beaucoup apprécié. Il m’a souvent pris les mains dans les siennes, usant et abusant de ce regard qui tue. Je lui ai raconté toute l’histoire de ma sexualité, depuis mon dépucelage très jeune jusqu’à mon expérience avec Jean, en passant par mes années de soumission, années pendant lesquelles, comme tu le sais, je suis allée jusqu’à me faire offrir à deux mecs en même temps par mon maître. Je lui ai parlé de tes envies par rapport à moi, de ce que tu voulais. Il a très bien compris tout ça, je crois. Mais bref, ces considérations doivent te faire chier, tu préfères, je pense, m’entendre dire cul, queue ou chatte. Pour ça, remarque, tu ne vas pas être déçu, mon cocu chéri ! En fait, on s’est très bien compris et nous avons également compris une chose très simple : il avait envie de moi et j’avais envie de lui. Ce qui devait arriver arriva : il m’a emmenée en taxi dans son bureau à La Défense, au quarantième étage d’une grande tour sordide. Le vigile, en bas, lui a ...
    ... fait un clin d’œil quand il nous a vus arriver ensemble. Un habitué des soirées sexe au bureau ? Ça m’a fait un peu sourire, surtout quand je mettais ça en parallèle avec ce qui était arrivé avec Jean. Dès que nous sommes entrés dans son bureau, et alors que l’un comme l’autre nous avions su nous tenir jusque-là, nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre, comme deux adolescents en manque. Nous nous sommes embrassés comme des damnés, mordant, léchant, titillant… Il passait ses mains sur tout mon corps… (Ah oui, petite parenthèse, tu ne sais pas comment j’étais habillée en fait, parce que je me suis changée en douce pendant que tu prenais ta petite douche de cocu du soir. Pour les dessous, j’avais un joli string violet avec des petits diamants – des faux, hein ! – sur la ficelle de derrière, et un soutien-gorge pigeonnant assorti. Au-dessus de tout ça, j’ai mis cette petite robe que tu aimes tant, qui dessine si bien mes fesses et ma poitrine, tu sais, dans les tons violets aussi, très évasée en bas ? J’ai mis aussi des dim-up résille, ceux que tu m’as offerts juste pour ton plaisir. Il faut bien que les cadeaux servent à quelque chose, non ?). Où en étais-je ? Ah oui : nous nous embrassions comme deux fous et nous caressions mutuellement le corps. Mathis a soulevé ma jupette et a émis un sifflement d’admiration. Décidément, mes jambes et mon cul ont la cote en ce moment ! Il s’est agenouillé devant moi et m’a complètement ôté la robe. Je pense que j’étais très sexy ...
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