Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... le combiné débranché pendant que nous faisons l’amour. Il peut aussi enregistrer nos ébats sur cassette audio (il n’a pas trop envie d’être filmé en fait). Pas mal pour toi, ça, tu ne trouves pas ? À part pour la vidéo, mon pauvre petit chéri, mais Jean, lui, voudra bien, ça compensera ! Troisième scénario : il est lié au week-end que Mathis m’a proposé de passer avec lui en Normandie, je ne t’en parlerai donc en détail que si tu acceptes déjà le principe. Il m’a fait part de plein d’autres scénarios, mais là je dois aller un peu me doucher, tu imagines bien pourquoi. J’espère que ce récit t’aura bien fait comprendre ta situation de cocu volontaire, mon amour, et j’espère en tout cas qu’il t’a plu. Bonne branlette ! Ta petite femme, Ava » ~~~~~~~~ J’étais sur le cul – forcément, remarquez, puisque j’étais assis, à mon bureau. Ce récit si détaillé, si précis, si troublant… J’aimais bien cette façon qu’elle avait de m’humilier souvent par ses propos insolents. Se vengeait-elle parce que je l’avais contrainte à réaliser MES fantasmes ou bien vivait-elle tout simplement cela très bien ? Je penchais un peu, quand même, pour la deuxième solution, même si je ne pourrais jamais être certain qu’elle eût réellement vécu ces orgasmes répétés. Me mentait-elle ? Me disait-elle la vérité ? Toute la vérité ? Rien que la vérité ? Levez la main droite et dites je l’jure… Je décidai d’en avoir le cœur net le soir même. J’ai dû attendre que les enfants aient dîné, j’ai dû attendre que les ...
... enfants se soient lavés les dents, j’ai dû attendre que les enfants soient couchés, j’ai dû attendre que les enfants soient endormis, j’ai dû attendre que mon épouse se soit douchée, démaquillée, lavé les dents et me rejoigne dans le lit pour pouvoir commencer à l’interroger. Elle portait une petite nuisette noire, transparente, sans rien dessous. Mon érection était à son maximum : elle était belle, elle était sexy, elle semblait épanouie. Ma première question fut la suivante : — Tout ce que tu m’as raconté est vrai, ma chérie ? Absolument tout ?— Qu’est-ce que tu crois ? Évidemment que tout est vrai, je ne vois pas l’intérêt de t’avoir raconté tout ça, sinon.— Elle est vraiment si grosse que ça, sa queue ?— …— Mais dis-moi, j’ai besoin de savoir, moi !— Oui, elle est si grosse que ça ! Voilà, t’es content ? Mais ça t’apporte quoi, au juste, de savoir ça ?— Ben rien, quoi, c’est juste pour savoir… Puis les centimètres, c’est pas très parlant. Montre-moi avec tes mains comment elle est… Elle écarta ses deux mains en souriant, en me souriant, de plus en plus, de plus en plus… Ouaaaaaouh… eh ben… — Voilà, à peu près comme ça, qu’elle est. Et très large aussi. Après qu’elle ait dit ça, je commençai à relever sa nuisette. — Je peux ? lui demandai-je— Mais oui, tu peux ! Il t’a interdit de m’enculer, pas de me baiser, quand même ! Elle était sur le dos, allongée lascivement. Je lui écartai les jambes au maximum, laissant peu à peu apparaître son bel abricot bien rasé. L’ouverture de sa ...