Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... lit. Je lui demandai de s’installer debout contre le mur, de poser ses mains et de se cambrer au maximum pour me présenter ses fesses magnifiques. Je me reculai pour mieux la voir. Elle était cambrée comme une déesse, debout contre le mur, et attendait que je la prenne. Elle était tellement désirable, cette… Elle me dit même : — Baise-moi vraiment, maintenant ! Baise-moi fort ! Inutile de vous dire que je n’attendis pas qu’elle change d’avis. Je positionnai mon gland à l’entrée de sa grotte et poussai légèrement. Un petit gémissement ? Non, rien pour le moment. Je poussai davantage, mais c’est vrai que j’avais un peu le sentiment de nager dans sa chatte. Non seulement elle était trempée, mais elle était bien plus large que la dernière fois où je l’avais prise. Heureusement que mon gland était assez épais, cela me permit de frotter son clito avec ma queue et, Dieu merci, elle commença à gémir, doucement. Ça avait l’air quand même de lui plaire après tout… Je la pilonnais maintenant assez fort. Je pensais pouvoir tenir pas mal de temps, étant donné que je n’avais pas arrêté de me branler ces derniers jours. Et effectivement, je ne me sentais pas prêt à jouir. Je la baisais donc de plus en plus fort, la tenant bien serrée par les hanches, par les fesses, par tout ce qui dépassait. En imaginait-elle un autre, ou était-ce moi qui l’excitait tant ? Après dix minutes de pilonnage, elle voulut se coucher par terre. Elle s’allongea donc sur le dos et ouvrit ses cuisses de manière ...
... obscène, la chatte luisante et rose, ouverte comme je ne l’avais jamais vue. — Bande-moi les yeux, mon chou.— Euh… là ? maintenant ?— Oui, oui ! Va vite chercher un de mes bas et bande-moi les yeux. Je me relevai à regret et partis chercher un bas dans son tiroir de dessous… Mmmmh, ils étaient tous plus affriolants les uns que les autres… Tiens, je ne la connaissais pas, cette petite culotte rose ouverte au milieu… Je ne savais même pas que ça existait. Ah, un bas ! Je le prends et reviens dans le salon. Ma femme est toujours là, elle se caresse la chatte et les seins, ses yeux sont fermés. Je lui passe le bas autour de la tête, ça y est : elle ne voit plus rien. Elle ne veut plus me voir la baiser ou quoi ? Pffffffffff… Après tout, je m’en fous. Je la veux et je la prends, voilà tout. Je veux jouir en elle. Je m’allonge entre ses cuisses et la pénètre en force. Elle se relève sur ses coudes et gémit de plus en plus fort. — Vas-y, mon p’tit Mathis, baise-moi fort, comme hier soir ! Baise-moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! (la garce ! je comprends pour le bandeau) Moi, comme un bon cocu, je réponds simplement : — C’est bon comme ça, tu la sens mieux que celle de ton mari, hein ?— Oh ouiiiiiiiii ! Elle est grooooooosse ! Elle est boooooonne ! Baise-moi, salis-moi, souille-moi, mon salaud ! Rien à foutre ! Elle veut Mathis, c’est moi qui la baise – enfin, ce soir, en tout cas… Je la baise, je la prends de toutes mes forces maintenant. Je sens ses fesses et son dos heurter le ...