Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... cul, j’imagine. Je lui rappelais sa promesse de me faire participer à l’élargissement de son anus ; elle ne me répondit pas, puis finalement… … Samedi ! Big time, baby. Je crois franchement que j’étais aussi excité que mon épouse. Enfin, un peu moins… Parce que pour ce qui était de l’excitation, ma femme n’était vraiment pas en reste ! Depuis le matin, elle se pomponnait, se préparait, s’était rasée presque entièrement les poils du pubis ; il restait ce qu’on a l’habitude d’appeler un « ticket de métro »… un tout petit ticket de métro ! Elle avait opté pour un maquillage léger. Quant à ses vêtements, elle avait eu la bonté de me laisser la regarder choisir sa tenue. Cela prit un certain temps tout de même… Une heure, en fait ! Elle avait étalé tout un tas de fringues sur notre lit puis, après moult réflexions, choisit ceci, pour ce soir en tout cas : vrai porte-jarretelles avec des bas résille auto-fixants qu’elle avait achetés sans même me consulter, string noir avec encore une fois des petits diamants, soutien-gorge pigeonnant assorti au string, longue robe noire fendue jusqu’en haut des cuisses, et beau manteau, noir lui aussi. Dans sa valise elle n’emportait pas grand-chose : dessous de rechange, déo, brosse à dents, nécessaire à maquillage, parapluie, une ou deux robes sexy, une mini-jupe de vraie salope, en cuir ou en imitation cuir, je ne sais pas, et plusieurs paires de chaussures à talons hauts. Une paire, notamment, avait des talons impressionnants, je crois que ...
... son maître la lui avait offerte lorsqu’elle était encore une soumise. À midi et demi, tout était prêt. Les enfants étaient chez leurs grands-parents et ma femme, complètement à poil, se tourna vers moi et me dit : — Je te l’avais promis, je vais donc tenir ma promesse. Encore que je n’ai plus vraiment besoin de préparer mon petit trou, je l’ai déjà bien fait cette semaine. Mais tu le sais bien, non ? Si tu crois que je n’ai pas entendu les grincements du parquet derrière la porte de la salle de bains, mon coquin ! Tu m’as entendu gémir ou pas ?— Ben… oui, c’est sûr, c’était pas très discret…— J’aimerais bien t’y voir toi, t’enfoncer un truc pareil dans le cul ! On verrait bien si t’es discret !— Bon, allez, on va pas se fâcher, pas aujourd’hui… Montre-moi tes progrès.— D’accord, mon chou. Sur ces bonnes paroles, elle alla ouvrir un de ses tiroirs et en sortit, ô miracle, un très beau gode, très réaliste, rose et transparent. Le gland était épais et la tige assez longue… pas aussi énorme que celle de Mathis, je pense, d’après la description imagée qu’en avait fait mon épouse. Elle s’installa à quatre pattes sur notre lit (conjugal, oui, oui, mesdames et messieurs), les fesses bien relevées pour que le petit trou soit le plus accessible, et commença à se caresser le sexe, y récupérant la mouille pour se l’étaler sur l’anus. Après quelques minutes de ce traitement, elle posa le gode sur son petit trou – mais il était bien plus ouvert que la dernière fois que je l’avais vu çui-là ! ...