1. Cocu passé : Mathis


    Datte: 14/03/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, fépilée, hotel, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fgode, pénétratio, fdanus, yeuxbandés,

    ... t’enverrai des mails régulièrement, pour te tenir au courant.— Génial !— …— J’ai dit : génial ! Silence à l’autre bout de la ligne. Je commençai alors à entendre des bruits de succion, de baiser baveux plutôt. C’était très excitant d’entendre ces bruits d’amour mmhhhhh… Je les imaginais tous les deux, nus, lui avec son énorme queue, elle avec ses petits seins si excitants et son cul beau à mourir, sur le lit… tout près du téléphone ! J’entendis ma femme dire : — Ooooh oui, mon Mathis, laisse-moi te la sucer…— Vas-y, suce-moi bien fort… suce ma grosse queue, ma douce… Oui, comme ça, c’est bon, caresse-moi les couilles en même temps… Mmmmmmhmhhh… Tu fais ça bien… Ouiiiii… continue… Aspire-la jusqu’au fond…— Mmmrmrmmmmdpd…— Oh c’est bon, vas-y, vas-y continue… Moi j’étais de l’autre côté, la queue dans la main droite, une queue plus dure qu’elle ne l’avait jamais été. Je me branlais lentement, pour ne pas jouir trop vite. — Attends, attends, mets-toi là…— Oh ouiiiii ! Prends-moi comme ça, mon amour… Mon amour ? Quoi ? Après cette courte conversation, je n’entendis, pendant une bonne demi-heure, que des gémissements de plus en plus prononcés, tant de mon épouse que de Mathis… Elle lâchait de temps en temps des « ouiiiiii » ou des « vas-yyyyyy », ou autres « baise-moi fooooort… » C’était à la fois très excitant et très frustrant de les entendre baiser comme des bêtes. Je savais que ma femme faisait exprès de parler plus fort, de gémir plus fort, d’en rajouter un maximum pour ...
    ... que je puisse en profiter… un maximum. À moins qu’elle n’en ait pas rajouté du tout, et qu’elle jouissait vraiment aussi fort qu’elle le laissait entendre. Après tout, comme elle me l’avait gentiment rappelé, je ne l’avais jamais VRAIMENT entendue prendre son pied. — Noooooooooooooon, pas par là, pas tout de suite mon chéri… Demain… Sois mignon… Puis le téléphone se tut complètement, totalement, irrévocablement. Je m’astiquai encore quelques instants et lâchai mon foutre sur mon ventre. J’étais tellement excité que je m’aspergeais jusqu’au menton ! Ça ne m’était jamais arrivé de gicler aussi loin. J’attendis quelques instants, pensant qu’ils avaient raccroché le téléphone par inadvertance, mais rien… Rien de rien. Le silence sidéral, cosmique, dans l’appartement. J’étais là, mi-allongé sur mon canapé, la queue mollissant dans ma main, du sperme coulant sur mon torse. Je n’osai pas rappeler leur chambre d’hôtel, je pensais qu’ils avaient d’autres choses à faire que de décrocher quand j’appelle. J’étais un peu vexé quand même qu’ils aient raccroché sans même me dire un mot. Surtout ma femme. Mais bon, il fallait bien que je m’y fasse : j’étais cocu, et voilà tout. Il fallait bien que je me mette dans le crâne qu’il leur revenait à eux de décider de ce qu’ils voudraient me donner. Je remis le son de la télé et ne tardai pas à m’endormir à nouveau. Je fus tiré de mon sommeil léthargique par un spot de pub particulièrement con, mais surtout particulièrement bruyant. Quelle heure ...
«12...181920...24»