1. Cocu passé : Mathis


    Datte: 14/03/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, fépilée, hotel, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fgode, pénétratio, fdanus, yeuxbandés,

    ... ce week-end. Je repérai immédiatement la mini-jupe noire et lui imposai de la mettre dans l’instant. Obéissante, elle ôta sa robe, enfila sa mini et un top léger, entre nuisette et chemise, qui laissait apercevoir son soutien-gorge, puis me suivit docilement au rez-de-chaussée. Quelques couples étaient déjà installés, ainsi que quelques mecs, probablement des hommes d’affaires ou des commerciaux en déplacement en Normandie. Je t’assure que ta petite femme a fait sensation en arrivant. Je ne vais pas te dire qu’elle faisait pute, ce ne serait pas lui rendre justice, mais elle faisait assurément garce. Et moi, pendant le trajet qui nous amena à notre table, je pensais à toi, pauvre cocu, certainement en train de te branler devant ta télé… Tu vois, c’est grâce à toi que je suis là, en compagnie d’une femme superbe qui n’est pas la mienne, alors oui, je pense parfois à toi. Il n’y avait que des sortes de poufs en fait, pas vraiment de fauteuils, ce qui fait que quand ta femme s’est assise ses jambes sont remontées assez haut. Les mecs n’en perdaient pas une miette – je pense qu’il était évident que nous étions un couple illégitime, d’ailleurs je ne porte pas d’alliance et ta femme avait conservé la sienne – y compris les mecs en couple, mais pour eux, de manière plus discrète. Elle avait bien compris où je voulais en venir, ta petite femme infidèle : je voulais qu’elle se donne en spectacle, pour ensuite mieux se donner à moi. Elle croisait et décroisait ses belles et longues ...
    ... jambes, provoquant l’émoi de ces messieurs. Je ne sais pas s’ils ont pu voir que ma chérie ne portait pas de culotte, mais ce dont je suis sûr, c’est qu’ils ont pu apprécier ses porte-jarretelles et une partie de peau nue au-dessus de ses bas. Il y avait notamment un mec, un beau quadragénaire, qui n’arrêtait pas de la mater au niveau de la poitrine. C’est vrai qu’elle était appétissante, sa poitrine, comme ça, à peine dissimulée. J’avais de plus en plus envie d’elle. Rien que l’idée de l’avoir pour moi tout seul pendant deux jours me faisait bander dur. Après avoir pris cet apéritif (pour elle un porto, pour moi un bloody mary), nous sommes montés dans notre chambre, sous le regard envieux de pas mal de mecs en goguette… qui matèrent son petit cul se tortillant sous l’effort de la marche. Sitôt la porte fermée, je l’ai coincée contre le mur de la chambre et l’ai embrassée furieusement. Je sentais sa petite langue tournoyer dans ma bouche et ses mains me caresser partout, les cheveux, les fesses, le paquet devant ; elle avait envie, je t’assure. Je sais reconnaître quand une femme a envie de baiser. Elle me sauta au cou et m’entoura de ses cuisses. Sa petite moule devait se frotter sur mon costume. Elle dut sentir la protubérance qui commençait à gonfler mon pantalon, car ça a eu l’air de l’exciter. En tout cas, dès qu’elle la sentit, elle se décrocha de moi et s’accroupit entre mes jambes, les cuisses bien écartées. Elle dézippa ma fermeture éclair et me sortis le membre (hé, ...
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