Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... reins vers l’avant. Je faisais du mieux que je pouvais, mais franchement, il était impossible d’en avaler trop. Je lui caressais les bourses, qu’elles étaient douces ! Décidément, ce mec avait tout pour me plaire : de la classe, de la culture, de beaux yeux, et… une énooooooooooooooorme queue ! Sans lui demander la permission – oooh la vilaine soumise ! – je lui enlevai complètement son boxer afin qu’il soit entièrement nu. Je me relevai (un peu à regret) et me tins devant lui, nue moi aussi. Il m’a serrée très fort contre lui et j’ai compris que sa musculature n’était pas uniquement faite pour être jolie. Nous nous sommes embrassés voluptueusement, longuement, nos langues s’emmêlant à l’envi ; je sentais mes seins s’écraser contre mon torse. C’était très fort et en même temps très doux. Il me glissait à l’oreille que j’étais sa déesse, qu’il avait envie de moi. Je lui disais des mots semblables et je sentais ma petite chatte frémir d’envie, réclamant sa grosse queue. Il me glissa à nouveau un doigt, puis deux, dans le sexe. C’était trop bon. J’avais des frissons sur tout le corps. Il s’allongea ensuite sur le sol de son bureau et me demanda de me placer en position de 69. Je me plaçai tant bien que mal au-dessus de lui, dans la position demandée, et m’allongeai donc contre son corps musclé. J’écartai bien mes cuisses au-dessus de son visage et il plongea son nez entre mes fesses. — Quel beau cul ! me dit-il. Et j’aime bien ton sexe presque rasé. Tes grandes lèvres sont ...
... magnifiques. Le nez entre mes fesses, il fit jaillir sa langue sur les lèvres de ma chatoune. Mmmmmmh ouh là là ! Quel lécheur ! Il avait tous les talents, ce Mathis. Il me serrait les cuisses. Je ne perdis pas de temps, de mon côté. Pendant qu’il me léchait divinement, j’essayais d’absorber le maximum de sa queue dans ma bouche, mais c’était difficile. Difficile d’abord parce que ce qu’il me faisait me plongeait dans le bonheur, mais difficile surtout du fait de la taille de l’engin ! De temps en temps, je mordillais son gland, et j’en ressentais immédiatement les conséquences, puisque les mouvements de sa langue, à chaque morsure, s’accéléraient de façon alarmante. Je pense que son nez devait suinter de ma mouille, parce que je mouillais tellement que je sentais mon jus lui couler dessus. Après dix minutes un quart d’heure de ce traitement réciproque, je l’avoue, j’ai eu envie de cette belle queue dans un autre endroit que dans ma bouche, qui devenait d’ailleurs un peu pâteuse et douloureuse. Je voulais qu’il me baise. J’en avais un peu assez des préliminaires. En plus, là, elle était dure comme du bois, son gland me semblait prêt à exploser. Je fis quand même un peu attention, car c’était lui qui donnait les ordres, donc je lui dis, avec mon plus charmant et coquin sourire : — J’ai envie de ta queue, baise-moi maintenant. Il ne releva même pas cet affront porté à son autorité. Je pense, sans me vanter, qu’il en avait autant envie que moi, alors… C’est ce petit moment d’attente ...