Cocu passé : Mathis
Datte: 14/03/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fépilée,
hotel,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
fgode,
pénétratio,
fdanus,
yeuxbandés,
... dit que tu étais vraiment cocu, et que ça n’allait pas s’arrêter là. J’ai joui dans ses bras. Quand je dis que j’ai joui, c’est en dessous de la vérité : j’ai eu un véritable orgasme. Le plus grand orgasme de toute ma vie. C’était comme si mon corps explosait, comme si ma chatte était un volcan qui se réveille. Je la sentais se contracter autour de son membre dur. Ma tête explosait, j’avais des frissons partout. Ça doit t’être difficile, n’est-ce pas, d’entendre tout ça, non ? Mais bon, ce n’est pas de ma faute si tu ne m’as jamais fait jouir comme Mathis. Et quand je pense que je t’ai toujours dit que la taille ne comptait pas ! Une bonne grosse queue, voilà ce que chaque femme devrait essayer avant de dire ça… Bref, j’avais joui comme jamais, mais pas Mathis, pas mon petit Mathis-à-la-belle-queue-d’amour. Après que j’aie joui pendant de longues minutes, il me souleva et retira sa queue encore énorme de mon intimité brûlante. Quelle horrible sensation que cette queue qui s’en va ! J’ai entendu un gros bruit de succion quand il s’est définitivement retiré de moi. Quel vide… Je ne suis pas restée vide bien longtemps, car Mathis comptait bien jouir de moi, lui aussi. Après ce qu’il m’avait fait, il pouvait tout me demander. S’il m’avait demandé de t’appeler, là, tout de suite, et de te dire que tout était fini entre nous, qu’il allait me baiser encore et encore, je l’aurais fait sans la moindre hésitation. L’orgasme est un pouvoir. J’aurais bien aimé, d’ailleurs, qu’il ...
... t’appelle pour que tu puisses entendre mes cris pendant l’orgasme… après tout, tu ne m’as jamais VRAIMENT entendu jouir, hein mon petit chéri cocu ? Mais bon, il ne pensait même pas à toi, tu penses, et il m’a simplement plaquée contre son bureau, les seins écrasés dessus. Grâce à mes bottes, j’étais juste à la bonne hauteur pour lui. Je sentais que ma chatte était ouverte comme elle ne l’avait jamais été. Je la sentais encore palpiter de la jouissance précédente. Mais j’en voulais encore, j’en voulais plus. Et ça tombait bien, parce que c’était pareil pour mon Mathis. Il m’a prise sans le moindre signe avant-coureur, et j’ai hoqueté quand il a introduit sa grosse queue d’un coup, d’un seul, jusqu’au fond de mon intimité. Hop ! comme ça, sans préambule, il me l’a enfoncée le plus profondément possible. Et c’était bon, je sentais chaque nervure de sa queue contre les parois internes de ma chatte. Et je le sentais sur mon clitoris. Quelles sensations dans cette position, mi-debout, mi-levrette ! Il est resté quelques instants planté en moi, sans bouger, me caressant et me griffant le dos, me disant que j’étais belle, que je serai sa muse sexuelle, que mon cul était divin, que ma chatte était accueillante, que je répondais tellement bien à ses attentes et à ses dimensions… J’ai probablement dû rougir à ce moment-là, d’autant que la présence de sa pine dans ma chatte ne faisait que rajouter à mon trouble. Il me caressa aussi les cheveux puis, sans me demander la permission (avait-il à me ...