Très chère belle-maman
Datte: 24/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
extracon,
alliance,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
fdanus,
fsodo,
hdanus,
jouet,
confession,
... dont je ne saurais me passer ! J’ai besoin de ce bol d’air pur pour me ressourcer et me défouler sur les pistes pentues. Malheureusement cette année, j’ai fait une concession et c’est Marine qui a choisi la destination : nous irons passer quinze jours au Sénégal. Je ne suis pas un fan de la chaleur et de la plage, mais il faut bien y mettre un peu du sien et faire plaisir à sa moitié. Je n’ai rien dit et j’ai accepté la proposition. Quelle ne fut pas ma surprise (très agréable au demeurant) d’apprendre que nous ne serions pas les seuls prévus au voyage. Il y aura en tout, huit adultes dont mes beaux-parents et quatre enfants. J’avoue qu’à l’époque j’ai même feint une abominable moue en apprenant la nouvelle. Marine l’a remarquée et m’a dit que ce serait des vacances « farniente » et que chacun ferait ce qu’il voudrait, sans contraintes familiales. Donc pas d’obligation de faire des activités avec ses cousins et leurs conjoints, ou avec leurs enfants, ou avec papy et mamie. oooOOOooo L’avion entame sa descente vers l’aéroport de Dakar, le voyage et ses deux escales se sont bien déroulés dans l’ensemble. Il ne manque plus que récupérer les bagages, remplir les formalités douanières, puis monter dans le bus climatisé : direction Saly, la station balnéaire non loin de Mbour. Dans l’autocar je me trouve innocemment à côté de belle-maman, elle me susurre des grivoiseries tout au long du trajet qui font monter la pression dans le boxer. Une main vient frotter mon entrecuisse, ...
... j’écarte celles-ci pour que les doigts puissent presser la bosse oblongue. Huguette est rayonnante, elle discute avec la famille disséminée sur les fauteuils tout en me masturbant. Je n’ose pas bouger et je feins une sieste, les yeux cachés par les verres noircis de mes lunettes. N’ayant pas envie de tacher mon pantalon j’attrape fermement les doigts agiles pour lui intimer l’ordre d’arrêter. Ce n’est pas dans son idée et lorsqu’elle me jette un paquet de Kleenex qu’elle vient de sortir de son sac à main, je comprends ce qu’il faut faire. J’ouvre la braguette et, en soulevant discrètement l’élastique du caleçon, j’entoure mon gland avec trois mouchoirs en papier. Je compte sur l’épaisseur pour éviter toute catastrophe. Je n’ai pas le temps de me réajuster, des ongles courent déjà sur le coton qui les sépare de mon sexe. Je jouis en silence, sans bouger le moindre muscle de mon visage, soi-disant endormi. Le papier éponge les longues giclées chaudes et je resterai poisseux jusqu’à l’arrivée à l’hôtel. Huguette parle, parle, ce jusqu’à ce que le bus stoppe. L’hôtel est planté au milieu d’autres clubs de vacances au bord d’une longue plage de sable blanc. Tout est regroupé en moins d’un kilomètre. Nous sommes accueillis en musique par des employés au sourire forcé autour d’un verre de bienvenue. Tout est rodé, huilé, mais bon, c’est les vacances et je ne vais pas commencer à râler. Chambres spacieuses, grande piscine à trente mètres de la plage (ça m’a toujours fait rire ça…), des ...