1. Très chère belle-maman


    Datte: 24/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fdanus, fsodo, hdanus, jouet, confession,

    ... contraire, de darder ses fiers tétons. — Tu es folle, finit par dire Marine avant de bougonner dans sa barbe pendant que tout le monde est pris d’un fou rire général après un petit moment de stupeur. Même ma femme finira par prendre part à la bonne humeur de la tablée. Toute la journée je materai ma bien-aimée Huguette dans son affriolante tenue. D’autant que la longue jupe n’a eu cesse de s’ouvrir pour laisser voir ses jambes musclées. Quelle bonne idée de fendre le tissu à plusieurs endroits, et ce bien plus haut que mi-cuisses ! En fait, c’est une mini-jupe avec de longs pans qui trainent presque jusqu’au sol. Les congés sous le soleil africain sont déjà loin, le mois d’avril touche à sa fin. Nous avons repris nos petites habitudes. Il y a juste eu un épisode de deux longues semaines durant lesquelles je n’ai pas pu voir ma tendre maîtresse, car elle était partie voir sa sœur. Mais en cette veille de la fête du Travail (2 mots qui ne vont pas bien ensemble…), elle est bien là. Nous sommes réunis à la maison pour un repas familial. L’autre a daigné se déplacer et trône sur la terrasse un verre d’anis alcoolisé à la main en regardant son petit-fils faire le pitre sur la balançoire. Marine et sa mère s’occupant du repas. Et moi je ne fais rien, je regarde les fessiers de mesdames pendant qu’elles épluchent les légumes, penchées sur le plan de travail. Le plus jeune est plus joufflu, celui de belle-maman plus musclé. Deux styles différents, mais en ce jour je m’aperçois que ...
    ... je ne saurais dire celui que je préfère. Le cerveau embrumé par ce choix ô combien crucial, je ne me rends pas compte qu’elles se moquent ouvertement de mon état léthargique ! Lorsque mes synapses se reconnectent, je bafouille difficilement trois mots pour expliquer mon simili coma, mais rien n’y fait ; elles continuent de rire. Je ne sais pas quelle mouche me pique à cet instant, mais je décide d’avouer la raison de mon regard fixe d’une voix empâtée, comme si je me levais d’une sieste de trois heures : — Je regardais vos postérieurs (j’avoue j’ai utilisé un mot moins classe). Marine arrête de rire, outrée, Huguette feint la même chose et me voilà recevant une volée de bois vert de la part des deux femmes. Je reste sérieux même si une envie de rire m’étreint, en effet belle-maman me fait des grimaces imitant sa fille énervée. — Marine, arrête de crier, ce n’est pas bien grave ! dit sa maman.— Oh toi, ne me fais pas la morale ! Tu crois que c’est normal ce qu’il fait ?— Il n’y a pas mort d’homme…— Non, tu as raison, mais ça ne me plait pas, c’est tout. C’est vrai que toi, tu aimes qu’on te regarde, répond Marine qui déverse ses rancœurs sur une nouvelle victime, la dernière fois que j’ai dit un truc du même genre tu as tout de suite montré tes seins. Tu devrais peut-être lui montrer ton cul ! Non ?— Ma pauvre fille, ne te mets pas dans cet état de nerf, calme-toi !— Non, je n’ai pas envie ! J’en ai marre ! Allez, fais-le voir ton cul, tu en meurs d’envie !— (rires) Tu le veux ...
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