1. Très chère belle-maman


    Datte: 24/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fdanus, fsodo, hdanus, jouet, confession,

    ... gaver de biscuits-apéritifs et je vais m’occuper de mon fils. Marine arrive à la maison vers dix-huit heures quarante et elle me trouve avachi sur le canapé à regarder du sport à la télévision. Elle sent tout de suite que je ne suis pas dans mon état normal. Bon, j’en rajoute un peu, c’est vrai ! Elle se penche pour me faire la bise et se retire avant de déposer ses lèvres sur les miennes : — À voir ta trombine, j’étais sûre que tu avais pris l’apéro avec tes collègues, sans compter l’haleine de poney ! Je passe sur l’engueulade qui a pour sujet la conduire en état d’ébriété avec, en plus, la responsabilité de notre fils ! Je fais le mort quelques minutes pour laisser passer l’orage avant de rajouter : — Je finis la soirée chez Marc…— Je m’en doutais de ça aussi, me coupe-t-elle, passablement énervée. Tu as raison d’aller te finir chez tes amis célibataires ! Allez, ouste et à demain ! Je dis ça au cas où tu te mettrais minable comme la dernière fois. Je préfère que tu dormes sur place…— OK, dis-je en me levant.— D’abord, tu décuves un peu, et tu vas me boire un bon café. Je veux bien te laisser quelques soirées dans l’année, mais je ne veux pas non plus que tu te plantes en voiture, rajoute-t-elle plus douce.— Merci ma puce…— Ta puce aurait préféré être avertie avant, donc n’en rajoute pas ! Je l’écoute prudemment pour ne pas la froisser et me félicite intérieurement de mon ignoble mensonge. Surtout que je sais qu’elle ne téléphonera pas à Marc. Elle est coutumière de nos ...
    ... soirées improvisées et connait le menu : bières ou vodka, biscuits salés et poker pour lier le tout. Marine me fait même changer de chemise sous prétexte « que je sens la vinasse » ; il faut dire que j’avais poussé le vice jusqu’à faire tomber quelques gouttes de muscat sur le vêtement. Dix-neuf heures quarante-cinq : je suis autorisé à sortir, après bien sûr m’être copieusement lavé les dents pour ne pas que « ça renifle » si je me fais arrêter par les képis bleus. Je roule le plus vite que je peux sur la chaussée détrempée pour ne pas faire attendre ma belle qui, j’en suis certain, ne manquerait pas une aussi belle occasion de me charrier. Après un petit travers, pas très bien maîtrisé, dans le dernier rond-point, je stoppe devant sa porte avec deux minutes d’avance. Heureusement qu’elle a laissé le portail ouvert, sinon j’aurais été en retard. — Absolument ravie que tu te sois libéré, mon cher gendre, dit-elle après m’avoir ouvert la porte.— À ton service très chère belle-maman, réponds-je en lui tenant le parapluie ouvert jusqu’à la voiture. Elle ne garde pas son manteau pour s’asseoir et, tel un majordome, je pose celui-ci délicatement sur la banquette arrière. Je démarre et la conduis prudemment sous les seaux d’eau qui tombent du ciel. Je ne révèlerai pas notre destination jusqu’à ce que je me gare le long du Rhône en Avignon. Il pleut moins et j’en profite pour l’escorter jusqu’à la péniche-restaurant sans me tremper. Nous sommes pris en charge par un monsieur charmant ...
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