1. Très chère belle-maman


    Datte: 24/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fdanus, fsodo, hdanus, jouet, confession,

    ... ramasser ma serviette s’il te plait ? Rajoute-t-elle l’œil coquin.— Bien sûr. Je regarde sous la table et vois la serviette posée sur ses pieds joints. Je me redresse pour reculer ma chaise, et plonge sous la table le plus élégamment possible afin d’atteindre le carré de tissu. Tiens, la disposition a changé, les jambes ne sont plus serrées, je peux distinguer son triangle pubien ainsi que ses lèvres charnues et luisantes. Je tâtonne pour trouver l’étoffe et avec regret je reprends position. — Cela a été un peu long, cher ami.— J’admirais la vue.— (sourire) Au vu de ton visage, celle-ci doit valoir le détour.— Je ne peux répondre que : oui.— J’en suis ravie, je sais que ce n’est pas raisonnable, mais j’aimerais que tu me regardes encore ! Sur le coup, je ne sais plus quoi faire, la péniche fait les manœuvres d’appontement, il ne me reste plus trop de temps pour réfléchir. Je fais tomber par inadvertance mon portefeuille, celui-ci glisse le long de ma jambe et par hasard mon pied le dirige vers les jambes de ma voisine. Je me baisse pour voir avec un plaisir immense les jambes musclées largement ouvertes. Comme la robe est fendue des deux côtés, Madame a pris la très bonne initiative de ramener le pan de devant sur son ventre. Son sexe est bien visible et l’index qui glisse entre les lèvres luisantes rajoute une tension supplémentaire dans mon boxer déjà trop étroit. Je ramasse le rectangle de cuir et me redresse le visage écarlate. — Tu es bien rouge, mon ami !— La position ...
    ... sans doute…— Sans doute très cher, dit-elle en se penchant et en posant son doigt sur mes lèvres. J’entrouvre pour laper timidement la pulpe et laisser mes papilles faire exploser les arômes intimes dans ma bouche. Je ne peux dire si cette sensuelle succion a duré longtemps ou pas, je ne peux pas dire non plus si des convives nous ont remarqués. Je suis juste certain d’une chose, c’est qu’une petite voix me disait de rester calme et de ne pas la prendre dans mes bras sauvagement. Une partie de mon cerveau devait avoir conscience du lieu où nous nous trouvions. Durant cet entracte, j’étais sur un nuage… Les yeux dans le vague, je songe ; Huguette d’un ton suave et grave me demande quelle est la suite du programme. La péniche a accosté et je ne m’en suis pas rendu compte, je reprends mes esprits rapidement et me lève pour tirer sa chaise en arrière. Je la devance au porte-manteau pour lui passer la veste sur les épaules et nous sortons sur la passerelle. Quelle agréable surprise de ne pas être accueilli par la pluie ! Le temps est redevenu clément. Pas de promenade, nous montons dans la voiture direction le point de départ, la maison de belle-maman. La coquine s’est assise les fesses directement sur le siège, ce qui a pour conséquence une vue imprenable sur ses jambes musclées. Le tissu autour de la taille la gêne au bout de trois minutes de route et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, l’étoffe s’envole vers la banquette arrière. Ma passagère remet sa ceinture de ...
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