1. Très chère belle-maman


    Datte: 24/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, extracon, alliance, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fdanus, fsodo, hdanus, jouet, confession,

    ... suis handicapé par le pansement qui paralyse mes doigts (je sais, j’exagère…), c’est elle qui conduit. Aussitôt assis dans la voiture, nous reprenons la discussion de la veille et elle m’avoue qu’elle fait exprès de pousser sa fille à être plus coquine. Je lui demande pourquoi elle fait ça alors qu’il y a eu un temps elle était jalouse de mon épouse. Elle m’avoue avoir peur que je la délaisse dans quelques années lorsqu’elle ne sera plus très fraîche (je reprends littéralement les mots utilisés). — J’ai bien réfléchi, et le lendemain de mes soixante ans, c’est-à-dire dans environ quatre ans, j’aimerais que nous cessions toute relation sexuelle. Je voudrais que tu me considères à partir de ce jour-là comme ton amie, ta confidente. Et pour ne pas rester loin de tes envies et désirs j’aimerais passer le flambeau, donc voilà pourquoi je réagis de cette façon envers ma fille. Ce n’est pas par perversité, mais uniquement pour rapprocher les deux êtres que j’aime le plus au monde.— Eh bien, je ne sais quoi…— Ne dis rien mon petit Francis, nous ne parlerons plus de ça jusqu’au lendemain de mon soixantième printemps. J’avoue que ce fut un énorme choc d’entendre cela, et j’ai eu le plus grand mal à soutenir la conversation qui suivit. Nous sommes arrivés vingt-cinq minutes plus tard sur le parking d’un des supermarchés de l’audio-vidéo du centre commercial du Pontet, au nord d’Avignon. Je ne suis pas encore remis, mais j’entrevois les raisons de cette douloureuse décision et c’est ...
    ... le cerveau dans un nuage de coton que je parle au vendeur (sympathique d’ailleurs) et que je fais le choix de l’enregistreur, puisque c’était le but premier de notre venue. Je porte le carton que je mets dans le coffre puis nous partons à pied vers la galerie marchande. Je n’ai pas eu une parole et encore moins un geste d’affection pour Huguette qui ne dit plus rien. Elle est triste, je suis déçu et il nous faudra un aller et retour dans l’interminable couloir bordé de magasins pour que je lui susurre à l’oreille : — Je t’aime. Cette unique et courte phrase scellera à jamais le pacte qui nous lie jusqu’en septembre 2012, date du fatidique arrêt de nos relations charnelles. Avec ces mots, j’accepte sa requête et c’est avec une de ses mains sur mon biceps que nous progressons dans la foule. Nous n’osons pas aller plus loin car nous ne sommes près de nos lieux de vie et qu’il serait dommage d’être surpris par une quelconque connaissance. Au bout de quelques minutes, elle me répètera les mots que je viens de lui dire. Il est l’heure de manger, nous nous installons dans une brasserie où il n’y a pas trop de monde. Au bout d’une heure trente nous repartons du restaurant et je la regarde enfin, j’étais tellement obnubilé par ses dires que j’avais occulté mon champ de vision. Je suis subjugué par la beauté de ma chère belle-maman. Je la redécouvre, sa sincérité m’a touché, sa façon de me protéger, de prendre soin de moi et, bien entendu, de m’aimer. Je ne peux réprimer mon désir et ...
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