1. Le locataire


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession,

    ... m’encourage. Pendant qu’il s’installe dans un fauteuil, restant dans une ombre discrète, sa femme et moi refaisons connaissance. J’ai perdu la retenue de la première fois et je ne me prive pas de caresser ce corps offert. Juliette, de son côté, se charge de me déshabiller. Bientôt je suis nu, ma queue bandée déjà dans sa main alors que moi je n’ai qu’à soulever le bas de sa robe pour finir de découvrir le secret de son intimité. Elle m’entraîne me tirant par la queue comme on guide un étalon. Nous passons de l’autre côté du canapé, frôlons le mari, et elle va s’asseoir pour aussitôt me pomper le dard. Lui est juste à côté et n’en perd pas une miette. — Elle suce bien ma Juliette, hein ? Il semble fier de ce qu’elle me fait. Après tout, on peut comprendre que le professeur soit fier de son élève. — Moi, elle me gobait presque entièrement, mais toi tu es trop long. J’aimerais bien en avoir une comme cela. Juliette, tu devrais essayer couchée. Sa femme a la bouche pleine mais n’est pas sourde. Elle me libère et, allant se coucher sur la table basse, la tête légèrement penchée en arrière, elle me fait signe de venir. L’invitation est évidente mais nouvelle pour moi. C’est moi qui dois avancer entre ses lèvres. Au début, je n’ose pas pousser mon avantage trop loin, mais Éric m’encourage : — Lâche-toi, mon Jérôme. Baise-toi dans sa gorge. Pense que tu es à l’hôtel. J’obéis, d’autant que Juliette me pousse avec ses mains. Sa gorge devient vite pour moi un trou sans fond, ...
    ... concrétisation d’un délire de jeunesse. Ah, voir ma queue disparaître entièrement entre des lèvres qui forment une corolle rouge autour de ma hampe… Ce bruit de clapotis et cette salive qui coule sans interruption… Pour un peu, je pourrais me croire dans un rêve érotique. Mais non, tout est bien réel. Réel comme le mari qui s’est déshabillé et montre à son épouse son sexe érigé. — Putain, je bande ! Moi qui croyais que je ne banderais plus pour une femme… Regarde, chérie, ce que tu me fais. Sa femme s’est saisie du dard marital mais je sens aussi que des mains caressent mes fesses. Comme Juliette n’a que deux mains, cela ne peut être que celles de son mari. — Jérôme, fais-moi plaisir. Va baiser ma femme. Je veux la voir se faire prendre par ta belle queue. Je suis bien du même avis. Pour moi aussi c’est super bandant de baiser la femme sous les yeux du mari. Je fais le tour et découvre que Juliette porte un plug qui se termine par un disque rose. Ainsi, voilà donc le fameux bijou dont ils parlaient tout à l’heure. — Le mien est bleu, me dit Éric qui suit mon regard. Des pervers. Voilà chez qui je suis tombé. Mais cette pensée ne m’arrête pas. Ma queue décide pour moi. Je l’enfourne d’une poussée dans le vagin bien ouvert et déjà humide. Le plug rend le passage plus étroit, mais c’est une pression délicieuse. J’imagine un instant que tout à l’heure ce sera celle du mari ou la mienne et que tous deux nous baiserons sa femme en sandwich. Le mari n’est d’ailleurs pas seulement spectateur. ...