1. Le locataire


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession,

    ... Je le sens qui rampe sous moi et suce ma queue et mes couilles alors que je baratte son épouse. Une langue de femme ou d’homme ne font pas grande différence. C’est assez excitant et je me surprends à aimer ce contact. La langue ne fait pas que glisser sur mon sexe, elle pousse aussi une exploration vers mon petit trou, mais cela ne dure pas. Éric s’en va. Un long moment, je le pense parti ou juste voyeur du couple qui s’active. Sa femme ne se retient pas, ou plutôt je pense qu’elle s’extériorise pour satisfaire son mari. Moi, je n’ai qu’une pensée : baiser. Baiser. Baiser et tenir. Tenir le plus longtemps possible, passant des grandes envolées aux lentes pulsations pour mieux me contrôler. Je sens à nouveau des mains qui caressent mes fesses. Encore une fois, cela ne peut être Juliette que je vois se caresser un sein et le clito. Ce sont donc celles du mari. Un homme me caresse. Mais, à bien y réfléchir, si je ferme les yeux, les mains sont douces et agréables. Il glisse un doigt dans mon sillon et l’amène vers mon anus. Ma corolle apprécie le contact. La garce aime qu’on la titille. La garce se laisse aller. Je n’ai pas mon mot à dire que déjà elle s’est laissé faire et s’est ouverte pour le doigt qui glisse dans mon cul. Un doigt glisse, mais les autres frottent à la porte. Un deuxième vient s’associer. Je m’immobilise bien à fond entre les cuisses de la femme pendant qu’un homme, le mari, me baise le cul. Oh, il sort après m’avoir bien bourré de ses doigts. Je vais ...
    ... reprendre mes mouvements dans le vagin lorsque je sens qu’un objet autrement plus gros pointe à la porte de cette satanée corolle. Une poussée et elle s’ouvre comme une pute. Toute résistance est inutile, et d’ailleurs en ai-je vraiment envie ? Je sens la queue du mari avancer en moi comme moi je suis entré dans la grotte de sa femme. Bientôt ses couilles viennent marquer la limite. On m’encule à fond. Ma propre queue n’est maintenant que la continuité de ce qui me prend le cul. Vite il me bourre, comme si le temps lui était compté. Pourtant, loin de moi l’idée de protester. C’est si bon… Délicieusement douloureux, ce gros braquemart, court mais large qui m’encule. Sans même bouger je sens monter mon plaisir, et alors que je balance ma purée, le foutre de l’homme me lessive les boyaux. C’est chaud, ça brûle, ça brûle… _________________________________________ — Oh, je suis désolée… dit une voix qui me ramène à la réalité. Arthur, excuse-toi de ta maladresse. Venez nous allons réparer cela. Il me faut une seconde pour que tout reprenne sa place. Ça brûle. Le liquide brûlant a traversé le tissu du pantalon et du slip pour ébouillanter la peau fragile de mes cuisses et de mon sexe. C’est Arthur, le fils de ma proprio qui a laissé tomber sa tasse de chocolat chaud sur moi. Nous étions tranquillement en train de converser, sa mère et moi, abordant le sujet de la garde éventuelle de ses enfants. Cela fait maintenant deux mois que je loge dans le studio que son mari me loue au dernier ...