1. Le locataire


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession,

    ... aussi une faiblesse chez moi. La première fois, surtout après une longue période de sagesse, je bande très dur et l’excitation est si forte que je suis hypersensible. Aucun moyen de me retenir trop longtemps, même si j’ai déjà essayé de m’améliorer. Mais après tout, pourquoi me priver alors que je sais que ma partenaire pourra se rattraper la fois suivante ? Je me retiens et vais prévenir ma suceuse de se retirer. — Attention, je viens… Mais Juliette ne semble pas m’entendre. Pire, je sens qu’elle glisse un doigt dans mon anus et le fait coulisser au plus profond. Encore une chose qui m’électrise. Mon cul est une zone très érogène chez moi. Plus d’une fois je me suis branlé tout en m’enculant avec un stylo ou quelque chose de plus gros. Mon plaisir est alors décuplé. Voilà, ça vient. Une brûlure bien vite cautérisée par ma sève qui se précipite et jaillit dans la bouche de ma coquine de logeuse. Si on m’avait dit qu’un jour je pourrais jouir dans sa gorge, j’aurais accepté un loyer bien plus élevé. On parle de la puissance de la jeunesse : ce n’est pas seulement la dureté de la queue, c’est aussi la générosité et la qualité du sperme que je balance. — Gloup ! Slurp ! Putain, que c’est bandant de ne rien voir… Pour une fois, c’est mon imagination qui doit suivre le cheminement de mon foutre se déversant en jets répétitifs au fond de la gorge de Juliette. Dans le noir le plus total, ma liqueur, blanche, tiède, crémeuse à souhait est guidée par la langue afin de se rassembler en ...
    ... bouchées gluantes que la femme déglutit. Oh, rien n’est plus beau que de voir la glotte bouger pour pousser ma liqueur au plus profond. Mais plus rien de monte. Déjà je sens ma queue faiblir. Ma suceuse la laisse doucement sortir d’entre ses lèvres, verge brillante mais bien propre. Quelques traces sur les lèvres de la cochonne sont la preuve que je n’ai pas rêvé. Un coup de langue fait le ménage. C’est une première fois, pour moi. Jamais mes copines n’ont accepté de recevoir cet ultime cadeau. Il aura fallu une bourgeoise, mère de famille, salope avérée pour me dépuceler de cette façon. Merci, le corbeau ! Mais Juliette n’est pas quitte. En s’allongeant sur le lit, les cuisses bien écartées, elle me fait comprendre qu’elle aussi aimerait quelques gâteries. Facile. Agréable. J’aime lécher les femmes. Leur minou est pour moi une source permanente de découvertes. Pas une n’a les mêmes renflements. Pas une ne dissimule son bouton de la même façon. Les petites lèvres sont des œuvres d’art uniques, et je pense souvent avec grivoiserie que l’on pourrait les utiliser comme empreintes personnelles. Je souris d’imaginer les femmes appuyer leur chatte contre un écran tactile, une caméra pour se faire reconnaître et identifier avec certitude. Pendant que ma bouche et ma langue explorent la fente, n’hésitant pas à aller titiller le petit trou d’un côté et revenir aspirer le clito de l’autre, Juliette se caresse les seins. De ses doigts nerveux elle torture ses tétons pour son plus grand ...
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