1. Le locataire


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession,

    ... offert, j’avoue : — Vous êtes très belle.— Tu n’es pas mal non plus. Et elle commence à détacher ma chemise, mais je me sens mal à l’aise. J’ai peur qu’elle se sente obligée de me séduire pour acheter mon silence. — Mad… Juliette, je vous en prie. Je ne veux rien en échange de mon silence.— Mais qui te parle de cela ? Je ne te plais pas ?— Si, vous…— Alors où est le problème ? Tu me plais aussi. Juliette est redoutable en détacher de boutons. Ma seconde main n’a pas encore rejoint la première qu’elle s’attaque déjà à ma ceinture et que ma braguette est descendue. J’ai toujours trouvé qu’un homme, pantalon sur les chevilles, était ridicule. Aussi je lui facilite le travail en soulevant mes jambes. — Oh, elle est belle ! dit ma proprio alors que, de nouveau assise sur le lit, elle découvre ma verge qui s’est déployée. Je ne connais pas de plus beau compliment que ces paroles. Moi aussi, mais je reconnais que je suis de parti pris, j’ai toujours trouvé que j’avais une belle verge. Dès que j’ai eu l’âge de m’y intéresser, j’ai pu constater que je suis largement au-dessus de la moyenne, aussi bien mou que dur. Avec le web, pas la peine de regarder les zizis des autres dans les douches après le sport. Mes aventures féminines, si elles ne m’ont pas toujours donné satisfaction sentimentalement, m’ont toujours fait compliment de mon engin. Je n’ai qu’un défaut, au moins pour la première fois : je bande très dur et ma queue refuse de trop s’éloigner de mon pubis. Cela n’a pas l’air ...
    ... de déranger Juliette qui approche son visage alors que ses mains plaquées sur mes fesses me poussent en avant. Du 380 volts ne me ferait pas plus d’effet que le premier contact de ses lèvres sur mon gland. Je suis long, je suis dur mais pas énorme, et la bouche se l’approprie avec délectation. Le disque rouge de ses lèvres se transforme en anneau de plaisir qui glisse vers le bas, étalant la salive abondante que la langue ne fait que dégrossir. Putain, que c’est bon ! Ce n’est pas la première fellation qu’on me fait, mon sucre d’orge ayant déjà attiré l’attention de certaines amies. Mais ici c’est une femme expérimentée, bourgeoise salope qui s’est essayée aux queues de ses amants. Elle n’arrive pas à me gober en entier, mais sans contestation possible, c’est elle qui s’en prend le plus long entre ses lèvres. Pour reprendre son souffle, elle m’abandonne par moments et lèche tout le long de ma hampe jusqu’aux couilles. Elle revient. Elle repart. Sa salive coule le long de mon bâton. Le bruit est torride. Chuintements, bruissements, enfin je n’ai pas assez de connaissances en vocabulaire pour caractériser tous les bruits que sa bouche libère. Elle me pompe et me suce, et c’est délicieusement pervers car Juliette donne vraiment l’impression d’aimer me sucer. Le cliché de la bourgeoise qui se transforme en salope, voire en pute pour satisfaire toutes ses envies, c’est elle. Oh ! Ses mains pressent mes bourses gonflées. Il ne faudrait pas beaucoup plus pour que je décharge. C’est ...
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