1. Violaine, souvenirs d'antan


    Datte: 16/03/2020, Catégories: fh, fhh, hplusag, couleurs, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, boitenuit, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, nostalgie, coupfoudr, amourcach,

    ... un sentiment de vacuité, vite oubliés quand j’ai obtenu une mention très bien au bac. Mes parents n’en revenaient pas. Moi non plus. Réussir était devenu mon obsession. Et la réussite passait par des études brillantes et l’accès à des réseaux d’influence. Ambitieuse et presque arriviste. Ma mise à l’écart au lycée a vite été reléguée au rang des mauvais souvenirs. Les étudiants que je fréquentais étaient tous issus de bonnes familles et dotés de QI au-dessus de la moyenne. Aucune chance de les impressionner par ma culture ou ma capacité à apprendre. Mais je n’avais pas perdu mon apparence, et elle allait à nouveau me servir. Ou me desservir. Mes copines de promo enchaînaient les aventures plus ou moins folles pendant que je bossais. À la colocation, c’était un défilé ininterrompu de prétendants – pas les miens – qui venaient vider leur stress et leurs couilles dans les chambres avoisinantes. Je bossais. J’avais déjà 24 ans quand j’ai connu enfin le plaisir des sens. Rien de génial. Je m’étais refusée jusque-là car je n’avais jamais eu le bonheur de rencontrer un garçon qui me convienne parfaitement. Je le voulais grand, beau, brun, intelligent, courageux, généreux ; je voulais aussi qu’il soit tendre, serviable, qu’il sente bon, et qu’il soit issu d’une famille aisée. Le mec parfait. Ceux qui m’ont approchée pouvaient avoir l’une ou l’autre de ces qualités essentielles que je recherchais, mais il en manquait toujours trop pour que je négocie quoi que ce soit. Et pour moi, le ...
    ... premier devrait être le bon et le dernier. Mes parents m’avaient inculqué une éducation radicale de ce point de vue. On se marie une fois et une seule, et à l’élu de mon cœur il me faudrait offrir ma virginité au soir de nos noces. Pour rencontrer des étudiants d’autres filières, j’avais accepté une invitation à une soirée organisée par une autre grande école. Il y avait undress-code précis pour cette soirée, à base de blanc et de transparence, auquel je me suis soumise pour ne pas faire tache. À peine arrivées avec quelques filles de ma promo, nous avons été emportées par une ambiance totalement débridée. Alcool bien sûr, mais aussi d’autres choses assez nouvelles dont j’avais entendu parler mais auxquelles je n’avais pas été initiée. Une soirée dingue, où le DJ nous avait entraînés dans des rythmes rendus psychédéliques par des éclairages saccadés qui vous plongent dans la folie. Habituellement, dans les soirées je jouais la petite fille sage et réservée. Je m’en échappais discrètement vers 1 heure, arguant d’une grosse fatigue. Pas cette fois. Je n’ai pas vu le temps passer, ni les verres descendre, et encore moins les vapeurs m’embraser. En sueur, survoltée, je me suis livrée sur la piste de danse comme jamais. Mes vêtements me collaient à la peau, me rendant quasiment obscène. Mais j’étais tellement partie que ça ne me dérangeait pas. Ils pouvaient bien me regarder, me frôler et même me toucher, j’étais la reine de la fête ; la reine de la nuit. Plusieurs garçons étaient ...
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