Violaine, souvenirs d'antan
Datte: 16/03/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
couleurs,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
grossexe,
boitenuit,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
nostalgie,
coupfoudr,
amourcach,
... aussi allumés que moi, et me dansaient autour. J’ai senti des mains sur mon corps me faire vibrer, jusqu’à une série de slows. Je me suis jetée dans les bras du premier qui s’est précipité, et pour la première fois de ma vie j’ai apprécié un corps contre le mien. Un corps trempé de sueur, qui sentait le mâle ; mais un corps puissant, protecteur, qui me serrait contre lui. J’ignorais son nom, il ignorait sans doute le mien. Je n’avais qu’aperçu son visage, tout juste avais-je senti ses mains sur mes fesses pendant les danses précédentes, encore qu’il eût pu s’agir de quelqu’un d’autre. Et je m’en moquais à cet instant précis. J’étais en train de savourer la pression de son torse sur mes seins quand il a passé sa langue dans mon cou, me provoquant des frissons partout. Ce n’était pas moi. Moi, la fille de bonne éducation à défaut d’être de bonne famille, je ne pouvais pas me laisser ainsi toucher et lécher sans réagir. Une fille sans limites et sans tabous habitait mon corps ce soir-là. J’avais envie de la faire partir, de l’évacuer, de la virer, mais j’étais aussi curieuse de savoir où elle pourrait aller. J’ai basculé un peu la tête pour lui laisser plus de place, me livrant à ses baisers baveux. Cette autre fille qui aime qu’on la touche, qui se laisse caresser par le premier venu, me transmettait ses sensations charnelles, ses émois, ses frissons. Pour moi, « interdit », ça voulait dire « interdit ». Point. Pour elle ce soir-là, « interdit » ça voulait dire « fais-le ; si ...
... on l’interdit, c’est que ça doit être vachement bien. Et merde aux conventions,fuck l’éducation ! » Cette fille qui habitait mon corps ce soir-là n’a pas protesté quand le garçon a posé ses lèvres sur sa bouche, quand elle a senti les vapeurs d’alcool lui entrer dans les narines. Au contraire, elle lui a offert sa langue et a collé son bassin contre le sien. Elle n’a pas davantage protesté quand il lui a pris les fesses dans ses grandes mains ; elle a même posé les siennes par-dessus pour les diriger plus bas. Il a remonté une main sur ses seins qui n’avaient jamais connu de main d’homme. Il a compris que le fruit était mûr quand il l’a prise par la main pour la diriger vers le parking. Elle n’a pas résisté quand il l’a allongée sur la banquette arrière d’une voiture, a soulevé sa jupe pour ôter sa culotte trempée. Elle appelait de ses vœux qu’il ne tarde pas trop à venir la prendre pendant qu’elle avait la tête dans les étoiles, mais il a préféré manger son fruit défendu, balader sa langue sur ce sexe poilu dont il voulait goûter le suc, la pénétrer de sa langue en lui malaxant les fesses. Elle se caressait les seins frénétiquement pendant qu’il lui broutait la nature. Cette fille qui habitait mon corps se comportait comme une salope, une fille facile, une harpie. À l’époque, on ne craignait pas les MST ; c’était réservé à d’autres pays. Et on supposait que les hommes savent se retirer avant qu’il ne soit trop tard. J’avais déjà joui, bien sûr, en me faisant plaisir toute ...