1. Séduction cul...inaire


    Datte: 17/03/2020, Catégories: ffh, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus,

    ... pour me retirer jean et caleçon. Me voilà à leur merci, sans autre défense qu’une matraque bien dure. Mais elles me désarment, se saisissant à deux mains de ce gourdin. Dans le même temps, elles me font basculer et je me retrouve allongé. — Cécile, immobilise-le que je puisse le travailler tranquille.— D’accord, il ne pourra plus bouger. Je me retrouve bâillonné par une paire de cuisses avec une touffe de poils contre la bouche. Plus moyen de bouger ni de parler. Mais je ne m’en plains pas, dégustant un bouton avec sauce d’accompagnement. En effet, le con me déverse un liquide que j’apprécie particulièrement. Pendant ce temps, Francine examine ce qu’elle a en main. — Je dois reconnaître qu’il est bien ferme et de bonne taille. Il pourra peut-être nous servir.— Regarde s’il est à la bonne dimension.— Je vais faire un essai complet et je te renseigne. Je sens Francine qui m’enjambe elle aussi, met en place mon sexe et descend lentement. C’est merveilleux et je sens que si elle continue comme cela, je ne pourrai pas résister longtemps. Mais non, elle se dégage et le présente à l’entrée de service. La descente n’est pas aussi facile ni rapide, mais beaucoup plus agréable à mon goût. — Ouais, pour moi, il me convient. Tu devrais l’essayer, toi qui as le coup d’œil quand il s’agit d’estimer les mesures.— Maintiens-le bien, j’arrive. Je suis obligé d’abandonner les lèvres bien baveuses avec ce goût délicieux. Mais l’instant d’après je suis à nouveau bâillonné. Cette nouvelle ...
    ... muselière est aussi agréable que la précédente, mais toutefois la liqueur est un peu plus épicée, et cela me convient parfaitement. Je sens à nouveau en bas un corps descendre sur mon organe, manœuvrer quelques instants, puis changer de réceptacle. — Tu vois, Cécile, il est quand même pas mal. Je crois qu’on pourra l’utiliser en cas de besoin.— Oui, il a une langue bien dure et musclée qui me donne satisfaction. Toutefois, elle ne vaut pas la tienne qui est plus fine et qui procure un plaisir plus délicat. Mais ma foi, il n’est pas d’un usage désagréable. Quant à sa bite, elle est correcte : suffisamment longue et grosse pour me remplir le con, et délicieuse dans le cul.— C’est exactement ce que je pensais. Moi, je lui mettrai quinze comme note.— Moi, je me contenterai de quatorze. Mais en le faisant travailler sérieusement ses petites imperfections, on pourrait le faire progresser.— Oui ; mais à savoir si on pourra le monter facilement sans qu’il se rebelle trop ?— Le mieux, c’est de commencer le dressage aujourd’hui. On découvrira ses défauts cachés, et ainsi on les corrigera.— Eh bien, au travail ! J’écoute cette discussion avec stupéfaction : elles parlent de moi comme d’un animal à dresser. C’est Francine qui me précise ce qu’elles comptent faire. Pour parler en termes équitation, d’abord effectuer un débourrage, c’est-à-dire me faire accepter de me laisser monter. Puis viendrait le dressage : obéir directement aux ordres, sans discuter. Cela me semble irréel. Qu’elles ...
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