1. Séduction cul...inaire


    Datte: 17/03/2020, Catégories: ffh, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus,

    ... veuillent me monter, entièrement d’accord. Pour obéir aux ordres, cela se ferait facilement. Qu’avaient-elles derrière la tête ? — Vous êtes sûres…— Silence ! Tu n’as plus droit à la parole avant d’être dressé, sinon nous te relâchons, et tu pars immédiatement, me dit Cécile. Pendant toute ta formation, tu obéis sans un mot.— Bon, tu commences ou je le prends ?— Prends-le. Pourquoi ne pas accepter ? Si ça va trop loin, je gueulerai et les enverrai bouler. D’abord, j’ai été manipulé, tâté, placé dans toutes sortes de positions sans avoir la satisfaction de les posséder. Jugeant qu’elles me connaissaient suffisamment, j’ai dû répondre à toutes leurs sollicitations. Couché sur le canapé, j’ai été monté à tour de rôle par les deux, alternant les différents orifices, avant et arrière, s’arrêtant avant de prendre leur plaisir. J’ai tenté de tenir le plus longtemps possible, mais après de nombreux changements de cavalière, je me suis déversé dans le cul de Cécile. — Le salaud ! Il ne m’a pas laissé le temps de jouir et il me graisse les boyaux… Il faut le remettre en forme pour que l’on puisse continuer, qu’il nous procure un orgasme !— Tu n’es pas là pour jouir, mais pour être dressé. Comme tous les hommes, tu ne penses qu’à ton plaisir en laissant tes partenaires en plan. Mais on va te remettre en forme… Elles m’ont douché, puis retour au lit et tripotage, papouilles, fellation, doigt dans le cul, choses que j’apprécie quand je suis en forme, mais beaucoup moins après une telle ...
    ... séance. Et sans aucun effet sur ma virilité. — Il n’est vraiment pas très résistant ; c’est un baiseur de demi-fond. Il faudra l’entraîner pour le marathon.— Pour cette fois, laissons-le reprendre son souffle ; on reviendra quand on aura pris le thé. Je me suis écroulé sur ma couche et j’ai plongé dans un sommeil traversé de rêves érotiques. Pourtant, contrairement aux autres fois, cela devenait un cauchemar. Mais je me suis aperçu que le rêve était devenu réalité : l’une d’elles me suçait, et mon sexe recommençait à se dresser. — Je crois que l’on peut reprendre : il commence à bander. Tout l’après-midi, elles ont usé de mon corps. Elles ont pris leur plaisir, mais pour moi c’était plutôt un supplice. Je n’arrivais pas à jouir ; ma première prestation m’avait vidé, mais mon sexe restait raide. Enfin elles m’ont abandonné, satisfaites de leur prestation. À nouveau, j’ai replongé dans un repos sans rêves. C’est une caresse sur la joue et un doux baiser qui m’ont tiré de mon sommeil. En ouvrant les yeux, j’ai vu les deux visages qui souriaient amicalement. — Félicitations, me dit Céline. Nous voulons que les hommes connaissent les sensations que nous ressentons quand ils nous traitent comme des objets. Pour cela, nous faisons des essais. Cela leur sert de leçon.— Nous faisons subir cette séance aux gars qui veulent nous sauter. Mais jusqu’à présent, aucun n’avait pu se taire. Colère, satisfaction, supplications, menaces… Ils ont crié, nous ont félicitées, rejetées, insultées. ...