Sale journée de comptables
Datte: 18/03/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fgode,
humour,
... aucune raison d’avoir honte ? Vous plaisantez, j’espère ?— Vous le saviez que j’étais là, non ? Accessoirement, je vous rappelle que vous étiez même occupée à me masturber ! Au cas où votre mémoire vous ferait défaut !— …— Oh… et puis… arrêtez de pleurer comme une madeleine ! ça n’arrangera rien ! Ouh là là ! ma tête ! ça ne s’arrange pas non plus ! Et je sens qu’on s’enlise, là. J’ai comme l’impression qu’on n’est pas sortis de l’auberge. — Bon, écoutez Nadine. Tâchons d’être réalistes, voulez-vous ?— …— Cessez de pleurer s’il vous plaît ! C’est agaçant à la fin !— Bertrand, vous êtes un sans cœur ! Bon, je vais me masser les tempes un instant. Ça devrait aller mieux après. Parce que là, on s’enlise de plus belle. — Nadine, écoutez-moi. Pourquoi, je ne dis pas que je me plains, loin de là, mais pourquoi diable étiez-vous occupée à me caresser tout à l’heure si c’est pour en faire une affaire d’État à présent ?— Mais je n’en sais rien, moi ! Une pulsion, voilà ! ça a été plus fort que moi ! je ne sais pas ce qui m’a pris. Et puis vous dormiez ! Fin soûl, faut-il vous le rappeler ? Je n’ai jamais cru que vous vous réveilleriez !— D’accord. Difficile à imaginer, mais admettons…— C’est la vérité de toute façon !— D’accord, d’accord. Calmez-vous. Et cessez de pleurer Nadine. Voyons les choses calmement, voulez-vous ?— …— Parfait, j’entends que vous vous calmez. Bon, Nadine, soyons réalistes. Et francs. D’accord ? Voilà, vraisemblablement, vous aviez tout à l’heure très envie ...
... d’une… comment dirais-je… distraction sexuelle. Et, quelle qu’ait été votre motivation, vous aviez déjà franchement entamé le parcours vers le but final, non ? Pourquoi, Nadine écoutez, nous sommes tous les deux adultes, pourquoi n’irions-nous pas au bout des choses ? Vous savez, sur le lit, je dois bien vous dire que je vous ai trouvée très attirante ! Qu’est-ce qui se passe ? Elle dit plus rien maintenant, j’entends plus rien… Ah si, la clef, eh ben voilà, elle va ouvrir. Eh ! Eh ! bien joué Bertrand ! Ben merde alors ! Voilà qu’elle lance mes frusques dans le couloir ! Eh ! mais elle referme, cette conne, en plus ! — Mais Nadine… qu’est-ce que vous faites ?— Bertrand, vous êtes un goujat ! Un sale goujat ! Aucune élégance ! Aucune discrétion ! Maintenant, je voudrais que vous fichiez le camp de chez moi ! Si vous ne partez pas immédiatement, je vais hurler tellement fort que les voisins ne tarderont pas à débarquer ! Sortez de chez moi ! Alors là, je suis soufflé ! Quelle ingrate ! Non mais, quelle égoïste cette bonne femme ! Allumeuse, ouais ! — D’accord, je pars ! Mais franchement, Nadine, permettez-moi de vous le dire, vous êtes déconcertante !— Sortez de chez moi Bertrand, je vous en prie, rentrez chez vous… Je suis vraiment désolée… jamais je n’aurais dû… laissez-moi, s’il vous plaît… Ouais, c’est ça, j’me tire. Et compte pas que je revienne ! T’as raté ta chance là ! Parfaitement, ta chance ! — D’accord, d’accord, je pars. Mais, dites… heu… Nadine… vous n’auriez pas une ...